Le Salon beige relaie une information de « Faits et Documents », assez emblématique du mépris dans lequel les autorités politiques françaises tiennent les chrétiens:
« Par le biais de la suppression des « niches fiscales », le fisc a trouvé un nouveau moyen, assez minable, de s’attaquer au catholicisme : jusqu’à présent les bénévoles qui accompagnaient des pélerins malades pouvaient déduire de leurs impôts leurs frais de voyage. Ce modeste « avantage » vient d’être supprimé. »
C’est vrai que quand on décide de passer une semaine au service des malades, c’est forcément dans une logique d’évasion fiscale!
Cette absurdité me rappelle ce que certains des « pères fondateurs » avaient osé avancer au parlement, lors du vote de la loi imposant le service militaire pour les séminaristes dans les années 1880: ils imaginaient que certains choisissaient la voie du sacerdoce pour échapper à leurs obligations militaires… Aujourd’hui, c’est plus mesquin, mais ce n’est pas moins grotesque!