Réagissant à la publication des nouvelles normes concernant les delicta graviora, les évêques italiens, tout en
se félicitant de cette nouvelle sévérité et de ce qu’elle révèle de la prise en compte des victimes, ont déclaré, non sans humour, dans leur quotidien “L’Avvenire”:
“Le code
canonique n’est pas une espèce de charia: les peines sont de nature spirituelle, même les plus graves, comme l’excommunication, et sont appelées justement peines “médicinales” parce que leur but
est de favoriser la conversion.”
Occasion de rappeler qu’effectivement, dans l’Eglise, les censures visent la conversion du pécheur, non sa
perte…
Source: AFP – La
Croix