De manière sans doute moins massive qu’en Europe, mais tout aussi insidieuse, l’islamisation progresse aux États-Unis. Le président de la Catholic League, Bill Donohue, avec sa verve et son bon sens habituels, en a abordé le 11 août un nouveau cas assez sidérant.
- « Dans un article des pages sportives du 11 août du New York Times, on se demande pourquoi un lycée public du Michigan a aménagé les horaires d’entraînement de football pour qu’ils s’adaptent aux joueurs musulmans pendant le ramadan (la plupart des lycéens sont musulmans). Plutôt que de s’entraîner dans la journée, alors que les musulmans jeûnent, les séances d’entraînement ont été décalées plus tard dans la nuit. Pour la seconde année consécutive, l’entraînement se déroule de 11 h du soir à 4 h du matin.
- Le journaliste sentant que c’était là une manière d’agir hautement inhabituelle pour un établissement public, tente de la rapprocher de situations analogues. Après avoir signalé que “trouver un arrangement entre un sport et une religion a déjà connu de nombreux précédents pour différentes croyances”, il donne trois exemples.
- “Sandy Koufax, qui est juif, a refusé d’être lanceur lors du premier match du championnat national de baseball en 1965, parce que ce match tombait le jour de Yom Kippour. La Brigham Young University, qui appartient à l’Église de Jésus-Christ et des saints des derniers jours [Mormons], n’a aucune manifestation d’athlétisme le dimanche. Et Hakeem Olajuwon, un joueur du Panthéon du basketball, jeûne aussi pendant le ramadan”.
- Ces trois analogies sont nulles. Personne de la Major League de baseball n’a fait quoi que ce soit pour s’adapter à Koufax : il a simplement décidé de ne pas lancer un jour sacré pour le judaïsme. La Brigham Young est un établissement d’enseignement privé qui décide de ses règles, et donc l’affaire des adaptations à la religion est fallacieuse. Olajuwon comme Koufax sont des gens qui pratiquent leur religion, et ils n’ont ni cherché ni obtenu une quelconque adaptation de qui que ce soit.
- En d’autres mots, ce à quoi on a affaire ici, c’est un nouveau cas ou le favoritisme pour des musulmans de la part d’institutions publiques veut se justifier comme si c’était un usage ordinaire ».
En prime, avec la traduction de ce communiqué de Donohue, je vous invite à découvrir et à savourer – tant qu’il n’a pas été censuré – une fort courageuse intervention devant un public américain de la psychiatre syrienne Wafa Sultan, aujourd’hui réfugiée aux États-Unis…
grande plage noire illisible…
“si “le” problème c’est..”il y a de grandes chances qu’on ne le résolve jamais, car le problème c’est qu’il y a toujours de multiples causes… (l’Islam ,c ‘est l’immigration le patronat, la mondialisation, l’apostasie, la démographie, l’énergie, le “lobby qui n’existe pas” etc)
Mahométans et non pas musulmans. D’écrire musulmans, cela est déjà une concession à la doctrine de Mahomet et une victoire sémantique. La doctrine du coran se répand grâce à la démographie rampante d’une population soumise à la terreur imposé par les maîtres de l’ouma et par la lâcheté sémantique des non_mahométans (remarque: il est possible que de dire mahométan ou de l’écrire puisse constituer un délit…. L’invasion de ce totalitarisme obscurantiste, trouve comme support les totalitaires crypto-marxistes et autres Bobos dans une sorte de Pacte Germano-soviétique revu et corrigé, vient aussi la complaisance d’une frange le l’Église Catholique au prétexte de dialogue entre religions et pour aggraver la situation, des extrêmes droites racistes, incultes et bêtes. Les mahométanisme a des beaux jours (il serait plus correct de dire ténébreux au lieu de beaux) devant eux et l’humanité. Un mouvement conjugué de ressentiment et régression déploie une énergie très puissante.
En effet l’Église se lance une fois de plus dans des erreurs pour lesquels il faudra demander pardon dans le futur au cas où il en restera une église pour le faire.
Le Ramadan dit tout sur la doctrine mahométane: un faux carême pour la devanture et dans la nuit, ripaille. Métaphore explicite sur la manière comme les mahométans prennent les chrétiens pour des niais.
Mentir, mentir et mentir au non-mahométans c’est licité. Qui est le maître du mensonge qui cherche des adorateurs. CF; les tentations de Notre Seigneur dans le désert.
Dhimmitude!