C’est ce que reconnaît Isabelle de Gaulmyn dans La Croix : On la croyait remisée au grenier, avec les fastes anciens de la charge épiscopale… La « lettre pastorale » de l’évêque, celle que, jusque dans la première moitié du siècle précédent, chaque curé devait lire en chaire, et que l’on retrouvait ensuite dans les […]