Paris (XIIème ardt). La chapelle de l’ensemble scolaire catholique Saint Michel de Picpus (placé sous la tutelle de la Congrégation de Sainte-Croix) a été profanée à la fin du mois de janvier. L’établissement a préféré ne pas communiqué sur cette affaire, sans doute pour éviter la mauvaise publicité.
De la peinture a été jetée sur les objets du culte catholique et une statue de la Vierge-Marie aurait été brisée. Selon nos informations, des parents d’élève ont immédiatement pensé… aux militants du Droit A la Liturgie Extraordinaire (DALE) avec qui le Père Géniteau, aumônier général, a eu affaire récemment, craignant “une vengeance” (sic) !
“Le DALE ne cautionnera jamais de tels actes” nous a assuré un porte-parole.
La police a ouvert une enquête.
La chapelle de l’établissement:
Arthur Leroy
Il me semble que rien ne justifie une telle accusation à l’égard du DALE, composé de catholiques pieux et pacifiques. La seule violence que l’on peut signaler, c’est lui qui la subit de la part de la hiérarchie catholique, qui s’oppose avec une mauvaise foi résolue à la mise en oeuvre des décisions du pape, qui veut mettre un terme à la persécution dont sont victimes les catholiques tenant de la liturgie traditionnelle.