Pour la cérémonie de réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, qui brille de ses mille feux, lumineuse et blanche comme à ses origines, nettoyée de toute la crasse accumulée au fil des siècles et lors de l’incendie, l’archevêque de Paris a commis l’exploit d’enlaidir cette cérémonie. Nous avons déjà évoqué l’étrange mobilier liturgique, qui ne respecte pas les rares normes que Desiderio bla-bla-bla demande encore de respecter. Il a fallu que l’archevêque demande au modéliste Jean-Charles de Castelbajac de confectionner des ornements de mauvais goût et qui n’ont pas de signification liturgique. Sur les réseaux sociaux, ce fut un festival de moqueries, dont certaines par des prêtres diocésains, qui en on plus qu’assez de cette laideur érigée en modèle. Même la cérémonie concernant l’orgue a été gâchée par un morceau discordant, brutal et agressif. Plutôt que ce son contemporain, pourquoi l’Eglise n’a pas fait jouer une mélodie sacrée ?