Le président Macron a dissous hier l’Assemblée nationale, suite à la claque électorale subie par son parti. Or le Conseil permanent de la Conférence des évêques de France, que certains ont qualifié de “Comité central de la CEF”, s’est largement disqualifié en prenant ouvertement parti en faveur de la majorité européiste, au mépris du bien commun, passant notamment sous silence la volonté du parti macroniste d’inscrire l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne.
Cette collaboration mérite sanction et il serait opportun que ce Conseil permanent remette sa démission. Le cléricalisme électoral, voilà l’ennemi.