Église en France

Avignon : Mgr Fonlupt s’exprime sur les européennes

Commentaires (5)
  1. Courivaud dit :

    On hésite entre un copié-collé tiré d’un texte rédigé par une commission anonyme de la CEF et un pont aux ànes que l’on trouve dans les bulletins paroissiaux qui s’imaginent que tous leurs lecteurs écoutent sottement les journaux d’information en continu.

    Mgr Fonlupt est évêque et par définition docteur de la foi et défenseur du peuple qui lui est confié. La déclaration qu’il adresse aux fidèles de son diocèse montre manifestement qu’*il ne s’est pas informé par lui même ès (double) qualité sur les dérives antichrétiennes (v. la motion du Parlement européen sur la liberté de l’avortement) et belliqueuses cf. les guerres d’Ukraine et de Palestine) qui caractérise l’actuelle obstruction européenne.
    On en a assez de ces évèques qui ne remplissent pas leur mission.
    Cela va durer longtemps ?

  2. Gaetano dit :

    Mon ordinateur cherche a rediger le texte pour moi. Ce qui explique des erreurs. Je rectifie donc: Discours mesure. Cependant le hierarque moustachu donne a penser a un proletaire!

  3. Pitoune dit :

    C’est une prise de position politique qui rend à César de qui est à Dieu.
    Voici donc un évêque se faisant promoteur candide de l’avortement, du terrorisme international, de la guerre en Ukraine sous prétexte de paix.
    Par ignorance ou par adhésion ? je ne sais, Dieu le sait.
    Toujours est-il qu’il semble confondre être au Ciel et être hors sol.

    Sa tenue pourrait le laisser penser.

  4. Remi Rive dit :

    Monseigneur, à la personne que vous êtes, j’adresse l’expression de toute ma profonde considération. À l’évêque que vous êtes et au Pasteur que vous devriez être, l’expression de ma totale incompréhension, de mon entier désaccord et de ma profonde colère.
    Encore un frère évêque :.
    RR

  5. Dominique Morin dit :

    Il a une belle cravate, mais quand même l’ignominie de l’habit séculier pour un prélat peut laisser penser la rigueur doctrinale de notre évêque.
    Quand aux critères utilisés pour donner des consignes de vote, il n’y en a aucun qui relève de la doctrine sociale ou morale de l’Eglise.
    Autrement dit, l’êvêque qui abuse de sa fonction et son autorité pour ne jamais se référer à l’autorité légitime de l’Eglise enseignante n’a pas plus d’autorité à exiger une influence spirituelle sur les fidèles et le clergé que Bébert au bistrot du coin après cinq Ricard.
    Désolé de paraître irrespectueux, mais l’évêque ou le prêtre qui se prend pour un chef politique doit s’attendre à ne pas être traité autrement là ou il se comporte de cette manière.
    Qu’il nous parle de salut des âmes, de fins dernières, de bien commun, de dignité de la vie humaine, et nous l’écouterons avec intérêt. Pour ma part, si je vote, c’est d’abord en fonction des critères moraux et du bien commun, et je n’attends pas de consigne de vote de mon évêque puisque je n’ai qu’à ouvrir le catéchisme de l’Eglise catholique pour être informé.
    Pas besoin ni de manquer de charité ou de piété filiale, ni de s’en prendre à un prélat égaré dans le monde, prions pour lui et ses semblables et faisons notre devoir d’état.