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Abus sexuels du clergé : appel à témoignages chez les franciscains

Commentaire (1)
  1. Robert dit :

    Comment faire une enquête digne de ce nom, avec témoignages et contradictoire, pour des affaires remontant à 60 ans dont la plupart des accusés et témoins sont morts?
    Va-t-on croire sur parole les accusateurs ou des témoins sans possibilité de défense et même de vérification?
    Je suis absolument pour nettoyer l’Eglise de ses prédateurs, sans restriction, mais je ne peux pas cautionner des accusations sans enquête ni procès qui souillent l’honneur d’une personne qui ne peut pas se défendre.
    Et je pense qu’en visant aussi large, en intégrant des enquêtes impossibles, il peut y avoir une volonté de noyer le poisson des véritables prédateurs dont les procès peuvent être intentés, ou des enquêtes sur des cause objectives qui risqueraient de mettre le doigt sur la responsabilité de l’institution d’avoir laissé accéder au sacerdoce à des personnalités immatures, des homosexuels, des vocations douteuses.
    On élargit le nombre potentiel, les périodes, pour ne pas regarder trop près les complaisances envers des prédateurs comme les frères Phillipe et leur soeur, par exemple.
    Je trouve très satisfaisant que la FSSPX accepte enfin de reconnaître des responsabilités de certains de ses prêtres, c’est un bon début et cela les honorent. J’attends que les ordres qui ont laissé entrer des homosexuels dans leurs rangs rendent des comptes.