L’hebdomadaire publie une lettre signée par environ 40 représentants du monde catholique (parmi lesquels le directeur de la publication de Riposte catholique), chefs d’entreprise, directeurs d’association, journalistes, intellectuels, parents de séminariste, laïcs engagés ou simples paroissiens, qui dénoncent la situation des séminaristes du diocèse de Fréjus-Toulon, en attente d’ordination depuis plus d’une année.
- Charles Beigbeder (Entrepreneur);
- Olivier Bonnassies (Directeur de l’Association Marie de Nazareth);
- Yves Meaudre (Vice-président d’Enfants du Mékong);
- Baptiste Laroche;
- François Jusot (Professeur au séminaire de la Castille);
- Marc Fromager (Ancien Directeur général de l’AED);
- Benoît Dumoulin (Directeur d’Ichtus);
- Benjamin Blanchard (Directeur général de SOS Chrétiens d’Orient);
- Christophe Machard (Président du FRI) ;
- Gabrielle Cluzel (Journaliste);
- Guillaume de Thieulloy (Directeur du Salon beige);
- Jean-Philippe Tasle d’Heliand (Président de Oddo);
- Béatrice Cornu Thénard (Bénévole diocèse);
- Thomas Delenda (Fondateur et directeur de l’association Hozana);
- Guillaume d’Aboville (Directeur général d’Enfants du Mékong);
- Stéphane Bazin (Chef d’entreprise);
- Stanislas Peronnet (Président de La Marche de Saint-Joseph);
- Pierre et Béatrice (Parents de séminariste);
- Céline du Chaffaut (Paroissienne);
- Alliaume Tixier (Chef d’entreprise);
- Claire de Laage;
- Corentin Dugast (Consultant);
- Clément Jacques;
- Élisabeth de Laubespin (Catéchiste);
- Godefroy Quilton (Notaire);
- Georges Delrieu;
- Hedwige de Vogue (Paroissienne);
- Philippe Renié (Chef d’entreprise);
- Marie Tasle;
- Louis-Marie Jusot (Gérent d’entreprise);
- Pascal Cornu Thenard (Paroissien);
- Renaud Lécuyer (Avocat);
- Isabelle Ratouis;
- Anne Dard (Médecin);
- Bruno Des Robert (Cadre des AFC);
- Bertrand de Goiffon (Paroissien);
- Richard Lerosey (Entrepreneur);
- Charles-Henry Allibert;
- Amélina Debains Pacreau (Infirmière);
- Stanislas de Gineste (Paroissien).
Extrait :
[…] La situation de ces 14 jeunes séminaristes, dont la vocation est laissée en jachère, est injuste. Quoi qu’on pense des reproches faits à Mgr Rey, comment accepter de voir ces jeunes, victimes collatérales d’un conflit, quel qu’il soit ? Les voilà empêchés d’aboutir sans que leurs qualités personnelles ou leur aptitude à la prêtrise soient en cause, comme pris en otage dans un conflit qui les dépasse. Comment le comprendre, alors que Rome a leur dossier en main depuis un an ?
Ces jeunes s’apprêtaient à être ordonnés diacres ou prêtres. Malgré toutes les difficultés actuelles de l’Église en France et dans leur diocèse en particulier, ils étaient prêts à tout donner pour servir.
Comment cette même Église peut-elle ainsi les maintenir si longtemps dans une situation si douloureuse et si instable ? Est-ce ainsi que nous prenons soin des vocations que Dieu donne à son Église ? Que peut-on dire à leurs parents, leur famille ? Quel message sommes-nous ainsi en train d’envoyer aux fidèles et aux jeunes en particulier ? […]