Agenda : Conférence sur Arnaud Beltrame le jeudi 15 juin à Versailles
Arnaud Beltrame : Héros ? Modèle ? Martyr ? Venez nombreux écouter le témoignage inédit sur la vie spirituelle et la postérité d’Arnaud Beltrame par le Père Jean-Baptiste Golfier, CRMD, le prêtre qui l’a accompagné jusqu’à ses derniers instants.
Que ce courageux Colonel soit martyr, peut-être, et tant mieux! A condition de rappeler et de ne pas oublier qu’un martyr, une fois canonisé — ce qui n’est pas encore le cas ici –, n’est canonisé que comme martyr, la canonisation ne concernant absolument pas sa vie antérieure qui n’en reçoit aucune approbation (cf le Bon Larron).
Qu’il soit un héros, probablement.
Quant à être un “modèle”… vere dubito.
Sa vie est-elle vraiment exemplaire? Sans parler de certaines fréquentations, que penser de l’exemple de son concubinage notoire, ce qui est toujours un péché grave (mortel) (cf. Catéchisme de l’Eglise Catholique et enseignement constant du Magistère).
Et que dire du Prêtre qui l’a accompagné sans lui faire rompre cette relation peccamineuse (qui est une occasion non nécessaire de péché grave selon la théologie catholique)? Son choix pastoral est en rupture objective avec l’enseignement des saints, en particulier les grands confesseurs saint Alphonse, saint Léonard, saint François de Sales… etc.; mais aussi avec celui du Magistère in materia.
Or, ce Prêtre, Chanoine régulier, est Docteur en Théologie de Toulouse (ISTA): comment ignore-t-il la saine doctrine morale et l’Enseignement de saint Jean-Paul II en la matière?
Certains “traditionnels” ne sont pas si traditionnels que cela, mais pire que les progressistes quand il s’agit de s’asseoir sur la Théologie morale pérenne. Avec eux, Mgr Paglia (et celui qui l’anime) peut dormir tranquille et préparer dans ses rêves la révolution morale en supprimant Humanae vitae après Veritatis splendor et le Catéchisme.
Pauvre Eglise!
Que ce courageux Colonel soit martyr, peut-être, et tant mieux! A condition de rappeler et de ne pas oublier qu’un martyr, une fois canonisé — ce qui n’est pas encore le cas ici –, n’est canonisé que comme martyr, la canonisation ne concernant absolument pas sa vie antérieure qui n’en reçoit aucune approbation (cf le Bon Larron).
Qu’il soit un héros, probablement.
Quant à être un “modèle”… vere dubito.
Sa vie est-elle vraiment exemplaire? Sans parler de certaines fréquentations, que penser de l’exemple de son concubinage notoire, ce qui est toujours un péché grave (mortel) (cf. Catéchisme de l’Eglise Catholique et enseignement constant du Magistère).
Et que dire du Prêtre qui l’a accompagné sans lui faire rompre cette relation peccamineuse (qui est une occasion non nécessaire de péché grave selon la théologie catholique)? Son choix pastoral est en rupture objective avec l’enseignement des saints, en particulier les grands confesseurs saint Alphonse, saint Léonard, saint François de Sales… etc.; mais aussi avec celui du Magistère in materia.
Or, ce Prêtre, Chanoine régulier, est Docteur en Théologie de Toulouse (ISTA): comment ignore-t-il la saine doctrine morale et l’Enseignement de saint Jean-Paul II en la matière?
Certains “traditionnels” ne sont pas si traditionnels que cela, mais pire que les progressistes quand il s’agit de s’asseoir sur la Théologie morale pérenne. Avec eux, Mgr Paglia (et celui qui l’anime) peut dormir tranquille et préparer dans ses rêves la révolution morale en supprimant Humanae vitae après Veritatis splendor et le Catéchisme.
Pauvre Eglise!