Les explications et les réponses du Club des Hommes en noir avec cette semaine autour de Philippe Maxence, les abbés Grégoire Célier et Hervé Benoît, le père Jean-François Thomas et Guillaume de Thieulloy.
Toute cette affaire, le processus synodal, risque fort de déboucher sur l’officialisation du fait que l’Eglise catholique est devenue une espèce de fédération d’épiscopats continentaux ou “régionaux”,
– comparable à la communion anglicane, sur le plan institutionnel,
et
– comparable à une communion postmoderne, sur le plan intellectuel.
De cette manière, avec un peu d’habileté et un peu d’hypocrisie, dans le contexte actuel, placé sous le signe de la mise sous tension entre le chemin synodal des Allemands et le processus synodal du Vatican, presque personne ne devrait trop “perdre la face”.
Mais après tout ne vivons-nous pas un genre ou une sorte de “Vatican III par morceaux”, depuis le début du pontificat de François ?
N’avons-nous pas été habitués et préparés à accepter des paris sur l’avenir synonymes de fuite en avant, depuis le premier synode des évêques qui s’est tenu sous Francois ?
Toute cette affaire, le processus synodal, risque fort de déboucher sur l’officialisation du fait que l’Eglise catholique est devenue une espèce de fédération d’épiscopats continentaux ou “régionaux”,
– comparable à la communion anglicane, sur le plan institutionnel,
et
– comparable à une communion postmoderne, sur le plan intellectuel.
De cette manière, avec un peu d’habileté et un peu d’hypocrisie, dans le contexte actuel, placé sous le signe de la mise sous tension entre le chemin synodal des Allemands et le processus synodal du Vatican, presque personne ne devrait trop “perdre la face”.
Mais après tout ne vivons-nous pas un genre ou une sorte de “Vatican III par morceaux”, depuis le début du pontificat de François ?
N’avons-nous pas été habitués et préparés à accepter des paris sur l’avenir synonymes de fuite en avant, depuis le premier synode des évêques qui s’est tenu sous Francois ?