Ce mercredi 29 septembre à 19h45 a lieu un chapelet pour la défense de la liberté de la messe traditionnelle, à Paris et ailleurs, ainsi que pour l’unité de l’Eglise et aux fins de détourner Mgr Aupetit, évêque de Paris, de son entreprise de liquidation générale des messes traditionnelles dans la capitale.
Le précédent chapelet, mercredi dernier, a rassemblé plus de 200 fidèles, notamment beaucoup de jeunes gens. Il témoigne d’un véritable rayonnement de la messe traditionnelle dans la capitale – et ailleurs – et de l’attachement de ses fidèles, mais aussi de jeunes catholiques qui vont aux messes novus ordo – à défendre la messe de toujours et la paix dans nos paroisses.
Tandis que Mgr Aupetit prêche dans sa lettre pastorale de rentrée “la religion de l’amitié” et “l’accueil inconditionnel de tous”, et que le diocèse de Paris inaugure une maison Bakhita pour les réfugiés et les migrants, l’évêque de Paris traite de “clandestins” les fidèles qui bénéficiaient de messes dans le rite tridentin depuis plus de dix ans, messes dûment autorisées pourtant, “clandestins” qu’il persécute en raison de leurs pratiques religieuses.
Est-ce que Mgr Michel Aupetit, médecin et archevêque de Paris sait ce que dit et fait un certain Mgr Aupetit, archevêque de Paris ? Il serait illusoire de penser que l’opinion, les parisiens et les fidèles – qu’ils aillent ou non à la messe traditionnelle – ne se seraient pas rendus compte de cette contradiction.