Célébrée depuis la fin du premier confinement dans l’église paroissiale Saint-Joseph, au nord du centre-ville, la messe en forme extraordinaire, passe, le temps de l’été, de 9 h du matin à 17 h le dimanche, et ce du 11 juillet au 22 août.
La communauté, desservie par l’abbé Hilaire Vernier, comptait 80 fidèles alors qu’elle était dans la chapelle du cimetière de Brasse, sur la même paroisse – une ancienne église paroissiale du XVIe qui compte parmi les plus anciennes de Belfort.
Depuis son transfert, pour cause d’application de normes Covid difficiles à appliquer dans la petite chapelle, en l’église paroissiale, la communauté a quasiment doublé de taille et compte de 100 à 150 fidèles à la messe, dont une vingtaine viennent de Haute-Saône (diocèse de Besançon pour la quasi-totalité du département), où il n’y a aucun lieu de messe traditionnelle, mis à part une implantation non una cum (sédévacantiste) à Faverney.