Perepiscopus

La spécificité de l’enseignement catholique

Commentaires (2)
  1. Arome dit :

    Au pays de Oui-Oui…

    Tant mieux si cela se passe vraiment comme cela à Versailles (mais je doute : les mêmes causes produisant les mêmes effets).

    Dans nos diocèses de l’Ouest, les établissements sous contrat sont des bureaucraties autonomes. Malheur à l’évêque qui oserait y toucher ! En ce moment, c’est le bouddhisme qui a le vent en poupe.

    Exemple : dans tel collège / lycée, le yoga est imposé aux élèves à l’insu des parents. La Direction ne voit pas de problème, sinon une erreur de communication (jamais rectifiée…). Plusieurs parents ayant réagi, le yoga demeure…mais il est rebaptisé “méditation”. Le vicaire général, d’abord soutien des parents, s’est ensuite prudemment aplati sous la carpette du Directeur. Malheur aux élèves qui ne vont pas au cours de “méditation”, les personnels savent bien leur crier dessus si nécessaire.

    Dans tel autre lycée, la Pasto organise une soirée “témoignage” : c’est celui d’un catholique qui s’est converti au bouddhisme !

    Dans tous : les cours de français qui permettent de découvrir les joies du sexe littéraire / de la théorie du genre dès le plus jeune âge. Dans les CDI, on trouvera souvent des livres pour expliquer aux jeunes d’âge collège comment deux filles peuvent se rouler des pelles en partageant une fraise tagada (le livre s’appelle “Rouge tagada”, disponible dans tous le bons CDI).

    Et la Pasto ? Au bout de deux ans, une jeune recommençante n’y a toujours pas appris le Je vous salue Marie. Les professeurs ne comprennent pas pourquoi le fait qu’une élève recrache l’hostie reçue à la messe pour la mettre en poche pose problème. Un mot-clé : “i ne faut pas embêter les jeunes avec la prière”. Une constante : la prière c’est mal, le yoga c’est bien.

    Cela se passe dans l’Ouest, et y dure encore, parceque les parents ne veulent pas de problème, ou créer de difficulté.

    Belle video cependant, je ne connais pas le diocèse de Versailles, alors on va dire que tout sur le terrain se passe comme dit Monseigneur.

    PS : la place des parents… c’est de faire des chèques et de se taire. Chez nous au moins.

  2. em dit :

    Il serait bon de rappeler les conditions acceptées par les établissements sous contrat avec l’état.
    Pourquoi, tous les professeurs sont nommés par l’état ?
    Pourquoi en sommes nous arrivés à en faire juste des établissements laïcs supérieurs pour le plus grand nombre (pour ne pas généraliser et décourager ceux qui résistent encore un peu) ?
    Les évêques ont ainsi délaissé leurs droits d’enseignement religieux sur les jeunes âmes dont ils avaient la charge.
    Il devait être visible que l’état allait s’arroger le droit de regard sur l’enseignement religieux et faire en sorte qu’il soit facultatif et non obligatoire. Pourquoi n a t on pas veillé à tout cela ?
    Qui a négocié ces contrats ? Qui a livré des pans entiers de l’enseignement religieux à l’état ?
    Ces établissements s’arrogent TOUS les droits laîcs et anti-cléricaux comme d’inviter certaines sectes ou d’imposer un enseignement contraire au droit naturel et premier des familles.