S’il est un point de traduction qui pose problème c’est bien la sixième demande du Notre Père, traduite de façon ambiguë depuis près d’un demi siècle.
La Belgique a validé la modification. Désormais les Belges ne prieront plus Dieu de ne pas les soumettre à la tentation, mais plus justement de ne pas nous laisser entrer en tentation.