Je vous ai informé hier, des insanités proférées par la journaliste Emma-Kate Symons contre le cardinal Raymond Burke. L’affaire est d’autant plus grave que de pareilles insanités ont paru dans les colonnes du Washington Post… Après les stupides insinuations publiées dans le New York Times, il est difficile de nier qu’une cabale est en cours contre le cardinal Burke dans la presse “progressiste” américaine – et pas qu’américaine… La Catholic League des États-Unis n’est certes pas “progressiste” et son président, Bill Donohue, pas davantage. Ce dernier, qui en a pourtant vu d’autres, a été ulcéré de la sortie d’Emma-Kate Symons. Et il l’a fait savoir dans un communiqué d’hier. Jubilatoire.
Le cardinal Raymond Burke est un brillant défenseur de l’orthodoxie, une personne qui est entrée en conflit avec le pape. Savoir lequel des deux a raison, ce n’est pas à la Catholic League de le dire. Mais quand l’homme est injustement diffamé, cela appelle une réponse.
Emma-Kate Symons ne se contente pas de se ranger aux côtés du pape, elle est résolue à éreinter le cardinal Burke. Incapable d’avancer un argument rationnel, elle s’abaisse au vitriol.
Elle qualifie Burke « d’ecclésiastique renégat » et de « prince rebelle de l’Église » cherchant à « légitimer les forces extrémistes qui veulent abattre la démocratie libérale occidentale ». Elle ne dit pas s’il est membre du [Klu Klux] Klan.
Burke est aussi accusé d’être le président d’une « société secrète dont le siège est à Rome ». Il s’agit des chevaliers de Malte ! Il est aussi accusé d’être le président « d’un groupe d’adulateurs d’extrême droite, de néo-fascistes normalisés, hors du Saint-Siège ». Elle ne dit pas s’ils portent des chemises brunes.
Symons, agissant comme une bonne progressiste, veut que Burke soit réduit au silence. Elle veut qu’on le vire des chevaliers de Malte – peu lui importe qu’il s’agisse d’une entité souveraine – et qu’on le punisse pour favoriser « l’extrémisme et le néofascisme » dans l’Église catholique.
On trouve habituellement ce type de discours insensés dans quelques blogues d’extrême gauche, rédigés par un blogueur au chômage qui l’écrit sur son ordinateur portable chez Starbucks. Que le Washington Post puisse héberger de telles bêtises nous montre à quel bas niveau ses principes sont tombés.
Ce n’est pas étonnant qu’on s’attaque au Cardinal Burke car il est un vrai prince de l’Eglise, un véritable gardien de la Vraie Foi et comme les journaleux de tout poil et de tout pays s’associent pour détruire la véritable Eglise Catholique, on comprend pourquoi on s’attaque à un de ses piliers dur comme un Roc
Le Cardinal Burke est un saint homme, il porte sa Croix comme le Christ. Un exemple pour nous. Ce serait bien que l’Eglise ait un Pape comme lui. Prions pour la conversion de cette femme venimeuse et méchante et pour ceux qui lui ressemble.
C’est indigne du Washington Post !
pourquoi indigne ?
tout le monde, sauf vous, sait que le Washington Post est une ordure
Quand on accuse les gens d’être fascistes, c’est qu’on l’est soi-même. Les termes de la lettre de madame Emma-Kate-Symons le montrent bien. Prions pour l’unité dans l’Eglise.
Ne jamais répondre à la diffamation, qu’elle soit juste ou injuste, surtout quand on est prêtre, évêque, cardinal et pape. Le Christ n’a pas dit le contraire: “Qui veut me suivre doit porter sa croix”.