Alors qu’une partie de la presse a interprété cette décision comme une façon de banaliser ou de relativiser l’avortement, Mgr Paglia a précisé qu’il s’agissait au contraire de bien établir une conscience du péché pour les personnes concernées.
« Il s’agit de donner une plus grande possibilité à celui qui a accompli ce geste terrible de comprendre la gravité de ce qu’il a fait, et donc de pouvoir changer de voie et de ne plus le faire ».
Aucun changement n’est à venir dans le droit canon : l’excommunication demeure.