Le cardinal Jean-Louis Tauran appelle à dénoncer les mauvaises actions sans rapport avec l’approche religieuse de la vie. Le président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux s’exprimait le 17 février 2016 dans le cadre de la XIIe Conférence sur le dialogue interreligieux de Doha, au Qatar.
«Les chefs religieux, a-t-il dit, ne doivent pas avoir peur de dénoncer sans hésiter les mauvaises actions et ambiguïtés de certains groupes qui n’ont rien à voir avec l’approche religieuse de la vie». Le problème n’est pas la religion mais les disciples. Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire, a-t-il affirmé citant Albert Einstein. «Ensemble, a-t-il assuré, juifs, chrétiens et musulmans peuvent remédier à la surdité de la société moderne par rapport à Dieu.»
Il a relevé, comme un paradoxe, le fait que «jamais comme maintenant, au moins dans les temps modernes, les religions n’ont occupé autant d’espace dans le dialogue public, cela se voit par exemple, dans les librairies des aéroports qui offrent au public de nombreuses revues religieuses et livres de spiritualité. D’un autre côté, les religions font peur à cause des épisodes de violence barbare, dont les auteurs soutiennent être inspirés par des motifs religieux».
La conférence a été organisée par le Doha International Center for Interfaith Dialogue (Dicid) qui depuis sa fondation, en 2008, promeut des conventions, des rencontres, des publications et des projets de recherche au niveau international pour favoriser une connaissance toujours meilleure entre les religions, dans la perspective de trouver un patrimoine de valeurs communes.
« L’histoire des religions, a rappelé le cardinal Tauran, montre qu’il y a un futur possible, un futur partagé. Nous construisons donc ce futur dans les maisons, à l’école, dans les mosquées, dans les églises. Et c’est pour cela que le dialogue interreligieux est une nécessité. J’espère que de cette conférence puissent émerger des initiatives concrètes, parce que nous ne devons pas nous comporter passivement, face aux circonstances actuelles. »
(CV-RF avec I.MEDIA et L’Osservatore Romano)
Source OR
Nous renvoyons à l’édito de Cyril Brun, œcuménisme versus syncrétisme, pour garder à l’esprit que certaines actions peuvent porter du fruit si elles demeurent dans la vérité
‘ Le problème n’est pas la religion mais les disciples’, phrase creuse. L’islam est une religion et elle est le problème plus encore que ses adeptes, victimes du diable et d’une vraie prison mentale.
En dehors de l’église du Cœur Sacré de Jésus il n’y a pas de salut.
Oui hors de l’Eglise il n’y a pas de Salut mais c’est une vérité oubliée depuis Vatican II et son œcuménisme mortifère. Il suffit de lire les discours maçonniques du cardinal Tauran : c’est effrayant !!! Hérésie, apostasie, indifférentisme caractérisent le cardinal Tauran.
O Marie conçue sans péché délivrez nous de ces mauvais pasteurs.
D’abord, l’islam n’est pas une religion mais un système politico-religieux, ensuite, contrairement à ce que dit le cardinal, l’histoire montre qu’il n’y a pas de futur partagé possible avec l’islam. Oui il faut un dialogue avec l’Islam mais en disant la vérité. Rien que sur la naissance de l’Islam, racontée par les musulmans, il faut faire savoir que tout est à revoir.
Ce discours d’un cardinal chrétien dans un pays aussi abominable que le Qatar est extrêmement adroit et astucieux pour tenter d’amener à la réflexion des fanatiques islamiques et est un appel à la tolérance, premier pas pour lutter contre la persécution des chrétiens dans ces dictatures musulmanes. Un tel discours je pense ne serait pas possible en Arabie saoudite et vaudrait peut-être à son auteur une arrestation, une lourde peine de prison, la flagellation …un grand merci à ce courageux cardinal.
Et bla, bla bla. Et bla, bla bla….
A quand la demande de réciprocité mosquées en Europe / églises en pays musulmans ?
A quand l’exigence de la liberté de culte ?
A force de vivre couché, on attrape des escarres… et c’est très douloureux les escarres. Et cela peut s’infecter et provoquer une septicémie voire, une gangrène… Alors, que reste-t’il comme solution ? L’amputation ou… la mort. Comprenne qui peut.