Perepiscopus

Mgr Le Boulc’h fait le lien entre les difficultés des agriculteurs et le drame des réfugiés

Commentaires (8)
  1. Denis F dit :

    Tel Salomon, partageons tout en deux, comme cela le nombre de malheureux se maintiendra absolument de la même façon!

  2. Féru dit :

    Un langage convenu et décevant. M l’évêque penserait-il à repeupler nos campagnes avec ces envahisseurs d’une autre civilisation ? Je croyais que l’église catholique condamnait le suicide.

  3. gege dit :

    Régler le problème des paysans par un “surcroît de dialogue et de solidarité dans la vérité de l’écoute et de la parole”. s’est exprimer en langue de buis des paroles qui ne veulent rien dire.
    Mélanger le problème des agriculteurs avec celui des migrants c’est faire de l’Alphonse Allais qui disait avec humour qu’il fallait installer les villes à la campagne car l’air y est meilleur!
    Au lieu de divaguer, il ferait mieux d’ouvrir un séminaire comme à Toulon ou Bayonne.

  4. gege dit :

    ( suite)
    Oui, ouvrir un séminaire, un vrai qui forme des prêtres pas des éducateurs sociaux sans compétences.

  5. Myriam dit :

    Le terme réfugié est parfaitement
    Inexact.
    Jeunes en âge de combattre et fui son pays s’appelle être des déserteurs.

  6. Cassianus dit :

    Je comprends d’après ce discours que l’essence de notre religion est dans ses valeurs humanistes (qui exigent probablement de faire bon accueil aux “réfugiés”), et qu’on ne pourrait certainement pas la servir en refusant de mettre en pratique lesdites valeurs. Si mon interprétation est correcte, ce raisonnement est un sophisme. En effet, la religion chrétienne ne consiste pas essentiellement à se déposséder de ce que l’on a. Si tel était son idéal moral, il n’y aurait rien de bon à acquérir ni à conserver quoi que ce soit. Quel sens aurait alors le travail ? Pourquoi voudrait-on inciter ses enfants à faire des études ? Pourquoi s’efforcerait-on d’administrer prudemment un patrimoine familial ou communautaire ?… Et pourquoi les évêques voudraient-ils recevoir le denier du culte ?

    Il est bien question, dans notre religion, de générosité ; mais, nous dit Saint Paul, sans nous mettre dans le besoin. Et lorsqu’il encourageait ses auditeurs à donner avec libéralité, c’était pour des collectes destinées aux pauvres de l’Eglise. Dans la situation présente, une générosité indiscriminée envers des réfugiés dont la plupart ne sont même pas chrétiens, s’ils ne sont pas secrètement des ennemis du Christ, aurait pour effet de ruiner notre propre économie nationale, c’est-à-dire nous ruiner nous, les Chrétiens, pour favoriser le développement d’un peuple étranger hostile à nos traditions, qui finirait tôt ou tard par nous obliger, nous, à chercher asile dans un autre pays. Et nous, les Chrétiens de France, où allons faire notre “alya”, dans quel pays allons-nous trouver refuge, quand le nôtre, et l’Europe et tout l’Occident sera devenu mahométan ?

  7. Hervé Soulié dit :

    Langue de bois, langue de buis…
    Un éditorial pour rien.
    Et toujours le même aveuglement sur la réalité du monde.