Neuf nouveaux directeurs diocésains de l’enseignement catholique ont pris leurs fonctions depuis la rentrée 2015:
- Toulon : Marie-Françoise Brivet, ancien chef d’établissement à Roquebrune-Cap Martin ;
- Paris : Jean-François Canteneur, ancien adjoint de la direction diocésaine ;
- Clermont-Ferrand et Moulins : Nicolas Carlier, ancien chef d’établissement à Lille ;
- Nancy et Verdun : Yves Delacour, ancien chef d’établissement dans le diocèse de Nancy ;
- Montpellier : Chantal Devaux, ancien chef d’établissement à La Rochelle ;
- Troyes et Langres : Thierry Filiâtre, ancien directeur diocésain du Puy-en-Velay ;
- Évry-Corbeil : Gérald Omnes, ancien adjoint de la direction diocésaine ;
- Saint-Étienne : Bruno Prangé, ancien directeur diocésain de Toulon ;
- Guyane : Marie-Paule Sénélis, ancienne adjointe de la direction diocésaine.
Vont-ils faire signer le texte intitulé « Projet éducatif et éthique républicaine », adopté le 7 juillet par le Comité national de l’enseignement catholique. Un texte qui constituerait “l’une des contributions importantes de l’enseignement catholique à la mobilisation en faveur des valeurs de la République“… Si la Charte de la laïcité, que le ministère demande de présenter à la signature des parents dans sa circulaire de rentrée 2015, ne s’applique pas aux établissements catholiques, l’enseignement catholique a demandé à ses établissements, en lien avec les autorités de tutelle, d’intégrer un texte dans le projet éducatif que les parents signent au moment des entretiens d’inscription. Ce texte montre comment la laïcité peut trouver place dans les orientations éducatives de l’école catholique. Il stipule ainsi que
« le projet d’établissement comprend notamment un parcours citoyen, permettant de découvrir et de vivre les valeurs de la République. La liberté, l’égalité, la fraternité ne peuvent se construire que dans un espace où chacun peut partager sa culture et exprimer ses convictions dans la connaissance et le respect de celles d’autrui. La liberté de conscience et la liberté de religion, défendues par l’Église catholique, sont aussi garanties par le principe de laïcité ».
L’école catholique au service de la République avorteuse, on aura tout vu.
Non vous n’avez pas encore tout vu ; attendez le synode pour l’étape suivante ! et les divorces catholiques ETC……..
c’est un vrai foutoir. C’est vrai que ce sont des gens qui doivent vivre dans une bulle: liberté, nous sommes dans un totalitarisme qui ne dit pas son nom. l’égalité, une belle fumisterie, demandons à ceux qui sont pourchassés par les sbires de la Taubira, s’il y a égalité de traitement avec les femelles (femen), quant à la fraternité c’est une pantalonnade ou je m’y trompe, les gamins n’ont jamais été aussi violents qu’aujourd’hui, il n’y a jamais eu autant d’agressions, etc…L’Eglise respecte la liberté de conscience mais elle se doit d’amener tous les hommes à Jésus-Christ, en voilà encore qui n’ont rien compris. Donc l’école catholique a pour obligation de faire connaître le Christ à tous ses élèves ,c’est son premier devoir. Qu’on se le dise!
“mobilisation en faveur des valeurs de la République”
Est-ce bien le rôle de l’école catholique?
De quelles “valeurs de la République” est-il question? Selon les textes ministériels considérés, il y a des fluctuations (ça va des trois mots de notre actuelle devise à une liste beaucoup plus longue), donc on aimerait savoir de quoi on parle.
“parcours citoyen”: qu’es aquo?
Pourquoi voit-on proliférer “république” et “citoyen”, et si peu “France”, “patrie”?
France et patrie font référence à un patrimoine, à un territoire.
“république” renvoie à un mode de gouvernement, par rapport auquel il y a certainement à prendre des distance (la Chine, l’Iran , la Corée du Nord sont des républiques); plus près de nous il y a nombre de monarchies (Grande-Bretagne, Espagne, Danemark, …) qui sont certainement des formes de gouvernement tout aussi respectables que celui qui est actuellement (depuis sommes toute assez peu de temps) le nôtre.
“laïcité”: en quel sens prendre ce terme?
Pourquoi “éthique républicaine”? pourquoi pas “éthique sans épithète” (en référence à la “morale sans épithète” de Jules Ferry -Sénat, 2 juillet 1881-?
Leur logo…..
Un nouveau parti politique ou un vague club de réflexion (maçonnique bien sur)?
A moins que cela soit une entreprise de fabrication de couleur et peinture?
Beurk!!!!!!!
Je regrette que la Conférence épiscopale française semble plus dévouée à la Repubique française qu’à l’Eglise !
Rappelons que la conférence épiscopale, n’a aucun pouvoir dogmatique ( Benoît XVI).
Rappelons aussi que la République française s’est construite sur le rejet de Dieu et la haine de l’Eglise. M le Ministre Vincent PEILLON l’a confirmé.
L’enseignement diocésain, (autrefois enseignement catholique),comme en politique on place les petits copains!
Une équipe de vainqueurs, sponsorisée par la loge des grands maçons, laissez tomber, ils ne servent à rien, sauf dégouter les gens de l’Eglise.
Heureusement, il reste des établissement comme Stanislas, où l’on n’est pas prêt de voir ce genre de chose. Ouf !