Le synode qui vient de se tenir à Rome pendant deux semaines aura suscité beaucoup de controverses et nourri un débat agité, notamment sur les réseaux sociaux. Il n’est pas étonnant qu’après le rejet de certaines propositions et le frein par les cardinaux et évêques, les commentaires de certains protagonistes soient désormais plus consensuels et un peu plus feutrés, tant il est vrai qu’il s’est passé quelque chose, la semaine dernière… S’exprimant au lendemain du synode, le cardinal Óscar Andrés Rodríguez Maradiaga, archevêque de Tegucigalpa au Honduras et président de Caritas internationalis, réputé proche du pape, a fait un bilan du synode. On retiendra quelques propos: « ce synode a vraiment été un moment spécial de la vie de l’Église : comme Peuple de Dieu nous avons écouté différentes voix, différentes situations, différentes circonstances ». « Mais il y avait un dénominateur commun : le désir de servir la famille, de promouvoir la famille et surtout de “sortir”, comme dit le pape François, pour guérir spécialement ceux qui souffrent ». Enfin, le cardinal Maradiaga qualifie le discours final du pape de « très beau point culminant ». Ainsi, ce « discours final (…) est un programme et en même temps un solide appui pour tous les travaux qui suivront ». « Comme le pape l’a rappelé, le ministère de Pierre est le ministère de la communion, de l’unité; il ne faut donc pas se décourager s’il existe des pensées diverses : la plus grande joie est que nous avons un pape ». De l’unité, on peut toujours se demander si elle n’a pas été inutilement mis à mal, sachant que l’unité se fait aussi dans la vérité. Mais ce synode aura bien été un “moment spécial”, comme l’ont attesté certains réveils et réactions…
marrant ce commentaire de la part d’un prélat hérétique plus proche de la pensée des sectes évangéliques que la doctrine catholique ! Pauvre Église !
En quoi cet autre clown sinistre des favelas est-un cardinal de l’Eglise catholique? Franchement!?
“la plus grande joie est que nous avons un pape”… C’est la joie dont nous ne sommes privés qu’entre la mort d’un pape et la nomination de son successeur.
Le “kasperium nocens” virus qui a infecté Maradiaga et Bruno Forte les a été donné son antibiotique fort conservateur et ont été piégés.
Bravo; cassé les libéraux le Synode!
Traîtres de la doctrine de l’Église!