C’est la seconde fois que le Vatican intervient pour réfuter les accusations qui ont été faites à l’encontre du cardinal Tarcisio Bertone. Celui-ci avait été victime, en 2010, de calomnies publiées par Il Giornale, qui lui imputait une campagne contre la vie privée de Dino Boffo, alors directeur de l’Avvenire, publication de la Conférence des Évêques Italiens, que le cardinal salésien présidait alors. Les accusations avaient été reconnues être sans fondement, elles sont pourtant reprises aujourd’hui par l’hebdomadaire L’Espresso, marqué à gauche. Une note publiée par le Saint-Siège dément formellement ces allégations contre un prélat auquel, notamment avec les attaques qu’il avait subies au cours de l’affaire Vaticanleaks, rien n’est épargné.