Voici le courrier du général Quélennec publié dans le quotidien Présent :
Angers est l’une des dernières grandes villes de France à fêter sainte Jeanne d’Arc conformément à la loi. Viennent à la cérémonie le préfet (qui préside), le général commandant la place, le maire, le président du conseil départemental, le colonel des pompiers, le directeur de la police départementale, etc. Seul manque l’évêque.
L’assistance est en augmentation depuis trois ans. Rendez-vous le 8 mai donc, à Angers, allée Jeanne-d’Arc, à 9 h 30.
Mgr Delmas est-il exclu ?
L’évêque ne sait peut-être pas que Jeanne est une sainte…
Cet évêque serait-il le descendant de l’évêque cauchon ou de l’évêque cochon ????
Mais , peut-être se considère-t-il comme progressiste, tout comme les camarades marxistes-léninistes qui, eux, se disent être détenteur de la Vérité…
Il s’agit maintenant d’une attraction touristique en faveur du multiculturalisme plus besoin de l’évêque qui accepte tout et a le même langage que le préfet !
Avez-vous une adresse électronique ?
maximilienbernard@perepiscopus.org
J’ai rencontré Emmanuel Delmas alors qu’il était Recteur du sanctuaire de Rocamadour ,depuis son départ le pèlerinage semble bien fonctionner,cet homme n’aurait jamais du être placé à la tête d’un évêché,même troisième vicaire dans une paroisse aurait été au-dessus de ses capacités!
Ce médecin de formation n’aurait, sans aucun doute, pas été en mesure de conserver de nombreux patients!
ça n’a rien à voir avec jeanne d’arc, c’est la fête de l’armistice 45. Je ne suis pas convaincu qu’un évêque ait besoin d’être présent à ce bal républicain. Qu’il célèbre dans sa cathédrale en ce jour éventuellement…
Vous comptez faire un article sur chaque commémoration républicaine où les évêques ne sont pas là ? Remarquez ça remplirait vos colonnes…