Malgré les preuves apportées sur le militantisme de la pièce X, Y et moi, l’enseignement catholique a décidé d’imposer un spectacle pro-gender distribué par le lobby LGBT. Il reste désormais aux parents de s’en indigner et de retirer leurs enfants.
N’hésitez pas à contacter Claude Bauquis, directeur diocésain, et Mgr Fonlupt, président du Codiec :
26 avenue du Maréchal Joffre 12000 RODEZ
Téléphone : 05 65 73 32 00
Par courriel
Mais qua de catholique cet enseignement? et que fait Mgr Fonlup?
La ruse rendue possible par le théâtre : s’adapter à l’auditoire, ce qui a dû fait par la troupe d’X, Y et moi, afin de faire avaler le spectacle aux directeurs et aux enseignants, puisque ceux-ci l’ont vu et l’ont jugé “de qualité” pour “réfléchir sur l’égalité et la complémentarité hommes / femmes”. Le spectacle devait être très “soft” !
Quelle décadence !
Dans l’un des diocèses les plus christianisés de France !
à “Riposte catholique”.
Il serait plus efficace d’écrire un article de fond sur tous les manquements commis par l’évêque du lieu, Mgr Fontlupt, d’en faire une synthèse qui permettrait de lancer une supplique au nonce (pour commencer) avec copie à la CEF (si elle sert à quelque chose) pour demander que l’intéressé soit “appelé à d’autres fonctions”, sinon destitué comme le fut en son temps un évêque célèbre, à Evreux.
Il ne faut pas se contenter de rédiger des dépêches éparses, çà et là, qui donnent à penser que “‘l’on en veut” à cet évêque” alors qu’en réalité, une série de faits graves, précis et concordants montrent qu’il est incompétent (au minimum) et dangereux (au maximum) pour le “troupeau qu’il est chargé de paître”.
Soyez journalistes d’investigation une bonne fois …. et une bonne foi pour toutes !
“Dans l’un des diocèses les plus christianisés de France”
J’apprends quelque chose, moi qui pensais que le Sud-Ouest, patrie des parpaillots et des rad-socs, était au contraire la région la plus rétive au christianisme.
Mais peut-être que Rodez est l’exception (hum…)
Effectivement, les historiens vous confirmeront ce que j’écris, ce qui n’empêche pas la présence d’autres “communautés”….
“Le Sud-Ouest” n’est pas un pays ou un terroir. Le Rouergue, si.
comment faire confiance à l’enseignement catholique ? directeurs, professeurs, maîtres et évêque ne sont ils plus capables de voir la nocivité de tels spectacles ? que peuvent-ils enseigner aux enfants qui leur sont confiés… s’ils restent aussi attachés aux idées nouvelles, aux tendances de la mode…
Malheur à ceux par qui le scandale arrive !
C’est pas en faisant entrer le lobby LGBT dans l’enseignement catholique que va revenir la confiance de certains parents ! et cela quelque soit le spectacle joué . Aucun sens des responsabilités de la part de l’évêque du directeur de l’enseignement catholique et des directeurs des établissements . Tout cela est scandaleux et lamentable.Merci aux courageux parents qui se sont levės pour dénoncer ces faits et alerter ! Que fait Mgr Fonlupt ? RIEN ! Il se complaît dans son monde de bisousnours, dans sa vision d’une Eglise aveyronnaise sans prêtres et son diocèse sans vocation . Que Vichnou lui apporte le réconfort et qu’après les divorcés remariés puissent les lesbiennes,les gays, les tans,les bi, et les indéterminés retrouver grâce à lui le chemin de l’église .
Le directeur du collège saint Joseph ,Puech et le directeur de l’enseignement catholique, Bauquis sont des exemples d’idiots utiles dans le combat de déchristianisation de nos adversaires. Aucune connaissance réelle du catéchisme et des enjeux modernes de l’éducation chrétienne d’un enfant ! Voilà ce que nous ,parents, avons constaté à chaque rencontre pour tenter de leurs ouvrir les yeux .Ajoutez par dessus tout cela une bonne dose de lâcheté et de conformisme.L’Ecole Publique est préférable dans ces conditions.
Aveyronnais de naissance et de coeur, je suis triste d’apprendre que le directeur de l’enseignement catholique et donc (?) l’évêque de Rodez aient cru bon de se croire “dans le vent” en cautionnant la diffusion d’une pièce de théâtre engagée et précisément sujette …. à caution.
Contrairement aux commentateurs ci-dessus je ne pense pas qu’un débat soit totalement nul. Dans notre société de “malfaisants” (et Dieu sait s’ils ont l’air majoritaires…) les jeunes quelque soit leur environnement familiale se trouvent confrontés à ces sujets “brûlants”. Ne pensez vous pas qu’il vaut mieux informer cette jeunesse désorientée que de se cacher la tête sous l’oreiller ? Les parents n’ont pas toujours les moyens pédagogiques pour en parler avec leurs enfants, c’est dans ce cas laisser n’importe qui se charger de les désinformer ce qui peut être grave pour la suite.