Parmi les jeunes filles âgées de 15 ans et moins qui se sont rendues dans une clinique de contraception au cours de l’année écoulée – soit 17.100 jeunes filles au total – 39 % (6.600) ont déclaré utiliser la pilule contraceptive comme principal moyen contraceptif, contre 36 % pendant la période précédente sur 2011-2012. La proportion de ces très jeunes filles faisant d’abord confiance au préservatif est passée quant à elle de 46 % à 40 %.
Le nombre total d’adolescentes de moins de 18 ans ayant rendu visite à une clinique de contraception sur 2011-2012 est à la baisse, passant de 283.700 au cours de la période de douze mois précédente à 268.000, un fait que les autorités sanitaires attribuent au recours plus fréquent aux contraceptifs obtenus sans formalité en pharmacie ou aux prescriptions de médecins généralistes.
La contraception chimique chez les jeunes et les toutes jeunes filles ne cesse de progresser et les autorités sanitaires en sont très satisfaites semble-t-il – en tout cas on ne les entend guère parler des effets nocifs de ces traitements hormonaux administrés alors que les « patientes » sont encore en pleine formation.
La même enquête a révélé que les contraceptifs de longue durée, réversibles, ne cessent de gagner du terrain chez toutes les femmes et jeunes filles, une demande sur trois dans les cliniques contraceptives de proximité gérées par le National Health Service portant sur ces implants et autres vaccins – pour un total de quelque 2,3 millions de visites.
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avant l’heure c’est pas l’heure, après l’heure c’est plus l’heure, chaque choses en sont temps.Il ne faut pas bruler les étapes. Avant de faire des enfants attendons l’age de la maturité. Parents attendons. Avant de permettre à nos filles de prendre la pilule. Encadrons les.