C’est le titre de la lettre pastorale de Mgr Pascal Delannoy, évêque de Saint-Denis. Elle fait 8 pages et est accessible ici. Il y écrit notamment :
“La doctrine sociale de l’Eglise ne cesse de le rappeler : la famille est une cellule vitale de la société. C’est au sein de la famille que chacun découvre qu’il est appelé à vivre en communion avec les autres et à se donner aux autres. Le Bienheureux Jean-Paul II aimait dire que la famille est l’Eglise domestique. Elle est ce lieu où l’on apprend à aimer, à donner et à recevoir, à pardonner… N’oublions pas, en ces temps où la famille est tellement remise en cause, qu’elle est le premier lieu où la joie de la foi peut-être communiquée ! Que cette joie puisse être partagée en Eglise dès les premiers âges de la vie en proposant des temps d’éveil à la foi pour les tout-petits et leurs parents.
Ne faut-il pas élargir la cellule familiale aux communautés ecclésiales de proximité ? En effet, beaucoup de chrétiens se disent aujourd’hui isolés. Au terme d’une journée de travail, ils ne souhaitent plus parcourir de longues distances pour se retrouver avec d’autres pour partager ce qu’ils vivent, prier, écouter la parole de Dieu. Alors pourquoi ne pas proposer des rencontres entre proches, habitant le même quartier ou la même cité ? Lors de la visite pastorale des cités plusieurs ont répondu à cette invitation et continuent aujourd’hui à se retrouver. Que ceux et celles qui ont déjà l’expérience d’animer des rencontres, notamment par leur appartenance à un mouvement ou à un groupe de spiritualité, puisse contribuer à la naissance de ces communautés ecclésiales de proximité. Des communautés où celui qui transmet la joie de la foi reçoit la joie de la foi ! Des communautés qui, peu à peu, feront signes au coeur d’une cité ou d’un quartier… jusqu’à faire naître le désir de partager une rencontre ? Ces communautés ne resteront pas isolées. Elles seront articulées à la communauté paroissiale à laquelle elles demeureront unies. Cette proximité, notre Eglise veut aussi la vivre, sans condescendance, auprès de ceux qui momentanément ou de manière plus durable connaissent une situation de pauvreté matérielle, affective, spirituelle… Comme nous y a encouragé le message fi nal du rassemblement « Diaconia », qui s’est déroulé à Lourdes en mai dernier, apprenons à écouter la voix des pauvres. Entendons cet appel « à se mettre en route, ensemble, pour construire une société juste et fraternelle. Une société où l’attention aux pauvres guide toutes nos actions ».
Bref,une famille est un lieu où l’on tente de faire de bons disciples du Christ. C’est très mal, c’est du prosélytisme : un “non-sens “….!!!! aïe…
aux communautés ecclésiales de proximité ?
c’est une solution d’avenir donnée par Chantal Delsol
que les chrétiens soient solidaires entre eux.
le chrétien doit ne pas se compromettre avec la culture de la mort (TV radio Ruquier jeux débiles infantillisants, etc.) il doit “rendre à Dieu la place centrale dans sa vie au quotidien” et participer dans la joie à sces communautés ecclésiale de proximité.