Certes, la trentaine d’étudiants qui a préféré recevoir son diplôme dans la cérémoni
e parallèle (photo ci-dessous), présidée
par le P. Frank Pavone des Priest for Life, à la réplique de la Grotte de Lourdes sur le campus, semble peu de chose comparée à la “masse” de ceux qui ont accepté de le recevoir en
présence d’Obama. C’est leur affaire. Moi, je salue ce « petit reste ».
Certes encore, que pèsent les 2 500 participants à cette cérémonie parallèle, inaugurée la veille par une nuit de prière présidée par l’évêque diocésain, Mgr John D’Arcy, face aux 20 000
personnes “massées” dans le Joyce Center pour voir quelques paons faire la roue : Obama
(photo ci-contre), Jenkins, et autres ? Aussi peu qu’une pincée de levain ou de sel. Mais qu’est-ce qui, selon vous, permettra un jour de
faire lever la pâte ou de donner du goût quand tout sera devenu fade ? Alors, je salue aussi cet autre « petit reste ».
Comment ne pas saluer, non plus, ces quelques milliers de catholiques, certains venus de fort loin, qui sont venus dire leur protestation contre ce qui dem
eurera le plus grand scandale jamais offert par une université
catholique ? Comment ne pas saluer le courage de ceux qui ont accepté de se laisser arrêter pour témoigner de la Vérité face aux mensonges et à l’hypocrisie d’Obama et de ses complices.
Pas loin d’une centaine d’arrestations. Dans cinquante ans, c’est d’eux dont on se souviendra alors que le souvenir d’un Jenkins se sera effacé. Salut donc à vous courageux frères qui ne
vous êtes pas laissé “séduire” par les pompes et les œuvres de qui vous savez !
Je me souviendrai de ce 17 mai 2009. Je crois que cette date restera dans les annales et pas pour l’excellence du discours d’Obama qui n’a rien ajouté de neuf à ce qu’il avait déjà déclaré
par ailleurs, à la nuance près qu’il ne s’exprimait pas devant Planned Parenthood, mais dans une université catholique… dont l’administration, une majorité d’étudiants et de leurs parents
partagent objectivement sa rhétorique de la « liberté de choix » en matière d’avortement. Imaginez-vous que s’il avait déclaré : « Je suis contre l’esclavage, mais je suis pour le droit personnel
de chacun d’avoir un esclave », on l’aurait ovationné comme il le fut en soutenant le même illogisme sur l’avortement ? C’est dire qu’il y a beaucoup de travail à faire… Merci donc à ceux qui
l’ont commencé.
e parallèle (photo ci-dessous), présidée
par le P. Frank Pavone des Priest for Life, à la réplique de la Grotte de Lourdes sur le campus, semble peu de chose comparée à la “masse” de ceux qui ont accepté de le recevoir en
présence d’Obama. C’est leur affaire. Moi, je salue ce « petit reste ».
Certes encore, que pèsent les 2 500 participants à cette cérémonie parallèle, inaugurée la veille par une nuit de prière présidée par l’évêque diocésain, Mgr John D’Arcy, face aux 20 000
personnes “massées” dans le Joyce Center pour voir quelques paons faire la roue : Obama
(photo ci-contre), Jenkins, et autres ? Aussi peu qu’une pincée de levain ou de sel. Mais qu’est-ce qui, selon vous, permettra un jour de
faire lever la pâte ou de donner du goût quand tout sera devenu fade ? Alors, je salue aussi cet autre « petit reste ».
Comment ne pas saluer, non plus, ces quelques milliers de catholiques, certains venus de fort loin, qui sont venus dire leur protestation contre ce qui dem
eurera le plus grand scandale jamais offert par une université
catholique ? Comment ne pas saluer le courage de ceux qui ont accepté de se laisser arrêter pour témoigner de la Vérité face aux mensonges et à l’hypocrisie d’Obama et de ses complices.
Pas loin d’une centaine d’arrestations. Dans cinquante ans, c’est d’eux dont on se souviendra alors que le souvenir d’un Jenkins se sera effacé. Salut donc à vous courageux frères qui ne
vous êtes pas laissé “séduire” par les pompes et les œuvres de qui vous savez !
Je me souviendrai de ce 17 mai 2009. Je crois que cette date restera dans les annales et pas pour l’excellence du discours d’Obama qui n’a rien ajouté de neuf à ce qu’il avait déjà déclaré
par ailleurs, à la nuance près qu’il ne s’exprimait pas devant Planned Parenthood, mais dans une université catholique… dont l’administration, une majorité d’étudiants et de leurs parents
partagent objectivement sa rhétorique de la « liberté de choix » en matière d’avortement. Imaginez-vous que s’il avait déclaré : « Je suis contre l’esclavage, mais je suis pour le droit personnel
de chacun d’avoir un esclave », on l’aurait ovationné comme il le fut en soutenant le même illogisme sur l’avortement ? C’est dire qu’il y a beaucoup de travail à faire… Merci donc à ceux qui
l’ont commencé.