Samedi 28 septembre, à la maison des évêques de France (Paris VIIe), une centaine de responsables catholiques et musulmans ont célébré le quarantième anniversaire de la création du fameux « service des relations avec l’islam ». Sans nier la crise que traverse aujourd’hui leur dialogue, ils ont partagé leurs rêves idéalistes…
Lors d’une table-ronde consacrée à « l’avenir du dialogue islamo-chrétien en France aujourd’hui ? », animée par le Père Vincent Feroldi (photo), responsable des relations avec l’islam dans le diocèse de Lyon, connu pour soutenir l’occupation des rues par les musulmans.
Anne-Sophie Vivier-Muresan, enseignante à l’Institut catholique de Paris, présentée comme islamologue alors qu’elle est surtout spécialiste de l’Iran, a déclaré :
« Je rêve que l’on familiarise les enfants avec la rencontre de l’autre dès le catéchisme, ou à l’adolescence ». « Que dans les quartiers populaires notamment, cette rencontre passe d’abord par la culture, parce qu’il n’est pas toujours facile de parler de sa foi, et parce que nous sommes des hommes et des femmes et pas seulement des musulmans et des chrétiens. Et je rêve enfin que tous les prêtres, les diacres et les responsables de communauté découvrent l’islam et le dialogue à un moment de leur formation : c’est une nécessité pour leur mission en France aujourd’hui, mais également pour leur foi. »
Le recteur de la mosquée de Villeurbanne, Azzedine Gaci a souhaité, lui, que « les rencontres interreligieuses prennent un tour plus spirituel ». Prier ensemble ou ensemble pour prier ?… Il a aussi demandé :
« Je voudrais aussi plus de rencontres entre les représentants de la CEF et des théologiens musulmans sur les enjeux de société ».
Responsable des relations avec l’islam dans le diocèse de Bordeaux, Georges Jousse a dit :
« Je crois que les catholiques seraient étonnés s’ils entendaient des musulmans parler de leur relation à Dieu. »
Néanmoins, Mgr Georges Pontier, archevêque de Marseille et président de la CEF, a admis que tout ce dialogue était en crise :
« Aujourd’hui, ces réalités sont marquées aussi par les événements nationaux et internationaux qui en complexifient le contexte et la réalisation ».
Mgr François Fonlupt, évêque de Rodez et membre du Conseil pour les relations interreligieuses, a ajouté :
« Nous, nous savons combien ce chemin est nourrissant, mais il n’est pas si facile de le faire rayonner. C’est une préoccupation pour nous évêques ».
Le cardinal Jean-Louis Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, a déclaré :
« Face aux lenteurs des progrès, aux violences, aux persécutions, certains jugent ses résultats décevants. Le grand problème c’est l’ignorance, nous ne nous connaissons pas assez. Pour autant le dialogue est une nécessité. »
Le Père Christophe Roucou, directeur du SRI, a émis quelques souhaits :
« un travail en commun dans les quartiers populaires, là où les contacts sont les plus fréquents et les difficultés augmentent, avec l’influence de courants radicaux ». « Nous devons aussi oser aller plus loin dans le travail entre intellectuels, responsables de culte, pour plus d’intériorité, de réflexion ensemble sur les grands sujets de société, mais aussi aborder ensemble les questions qui fâchent comme celle de la liberté de conscience dans le cas des mariages mixtes ».
Grand absent de cette journée, la question douloureuse de la conversion des musulmans au catholicisme. Il y en a plein, mais ils se cachent. Il faut savoir qu’en France, des couvents abritent des musulmans qui se convertissent à la foi catholique, et qui sont, pour cette raison, violemment rejetés par leur famille. Et bien souvent, l’Eglise officielle ne les accueille pas. C’est en cela que le dialogue (avec l’islam, comme si on pouvait dialoguer avec l’islam : on ne dialogue qu’avec certains musulmans, comme l’avait déclaré Benoît XVI) est une vaste fumisterie.
Pour ceux qui veulent en savoir plus, je ne peux que conseiller la conférence qui sera donnée demain, mardi 1er octobre par Moh-Christophe Bilek, ancien musulman, aujourd’hui converti et rejeté par le SRI, en compagnie du père Louis-Marie de Blignières, fondateur de la Fraternité Saint Vincent Ferrier, sur le thème : Des musulmans se convertissent au christianisme, mythe ou réalité ? dans un café du Quartier latin – Le Sorbon, 60, rue des Ecoles, à Paris, à 20h.
Que tous ces bons apôtres lisent le Coran et apprennent l’histoire …..
Qu’ils aillent vivre dans un des 57 pays musulmans et s’ils reviennent vivants, ils tiendront un discours vrai.
Sans partir et risquer leur vie, ils peuvent lire ou écouter le Père Pagés qui connaît le sujet.
je crains que cela ne soit le terrible “péché contre l’Esprit” dont nous a parlé Jésus : si c’est le cas ces gens seront damnés!
Que de parlotes inutiles…on a l’impression que toutes ces élites évêques ou laîcs, soi-disant spécialistes du dialogue interregligieux’ ont la vue bien basse devant une religion conquérante qui n’est en somme que mensonges et forfaitures….s’ils s’imaginent qu’il vont convertir ces musulmans à force de courbettes et de blas-blas, ils se mettent le doigt dans l’oeil : ceux-ci n’ont qu’une ambition : celle d’islamiser tout le monde….
ce ne sont pas ces clercs prétentieux qui changeront quelque chose à la donne ! ils feraient mieux d’organiser à l’échelle nationale des PRIERES pour la conversion des musulmans car SEUL Dieu (et Il le prouve, il suffit de lire des témoignages de musulmans convertis) leur fera connaître cette Vérité qui est unique : c’est à dire la vraie religion de paix et d’amour de NSJC (et non pas une SINGERIE diabolique).
Ce qui manque à nos évêques c’est le cran (et le bon sens) de dénoncer une religion qui n’apporte en somme, que des malheurs et de se positionner courageusement pour Jésus-Christ….c’est infiniment triste de voir tant de lâcheté et d’aveuglement…..
Pour Mgr Fonlup, ce chemin est nourrissant, et si nous devenions un tantinet sérieux, il me semble que le chemin serait beaucoup plus nourrissant si déjà on se préoccupait du dialogue à l’intérieur de l’église elle -même et que ceux qui ont des responsabilités ne rejettent pas ceux qui ont envie d’une vie religieuse plus riche, si ces épiscopes se préoccupaient des vocations,quand ça ne marche pas quelque part on cherche pourquoi ça ne marche pas et quand ça marche quelque part (communautés diverses et variées) on essaie d’en faire autant au lieu de leur mettre des bâtons dans les roues. Et si au lieu de dialoguer avec l’islam on cherchait à convertir les musulmans, ce serait certainement encore plus nourrissant!!!!, mais non il ne faut pas les convertir, il vaut mieux leur laisser appliquer la charia comme ils le font si bien en pays musulman.
Le jour où nos épiscopes appliqueront les exhortations de Rome ce sera certainement plus nourrissant: une liturgie digne de ce nom au lieu des sempiternels salamalek à la noix de coco, suppression des absolutions collectives, encouragement à la communion sur la langue, la génuflexion, se mettre à genoux à l’élévation au minimum, changer les paroles du Notre Père telles qu’elles viennent d’être définies et le tout saupoudré d’un peu de grégorien et là cela deviendra vraiment NOURRISSANT!!!!!!!
Rencontre de responsables catholiques et musulmans ? responsables catholiques, oui ; responsables musulmans, non. Petit rappel : l’islam ne connaît ni sacerdoce, ni clergé, ni hiérarchie, ni autorité représentative de l’ensemble des musulmans… et donc pas de responsables.
TOUS CEUX QUI NE SONT PAS POUR LE CHRIST, SONT CONTRE LE CHRIST.
Je commenterai ici la phrase de Anne Sophie Vivier Museran, spécialiste professionnelle de l’Iran ” les futures curés, et diacres, doivent au cours de leur formation, étudier l’islam , dans le but de renforcer leur foi……!
Je reconnais que si la situation mondiale des chrétiens n’était pas aussi tragique et sanglante, je serai tenté de pousser d’immenses éclats de rire ! en lisant une telle absurdité. Ou plutôt il s’agit en fait d’une demi absurdité, car je considère effectivement que la lecture du coran est actuellement indispensable pour tout catholique et nos futurs curés, bien évidemment.
Oui nos séminaristes doivent se plonger dans le livre fondateur de l’islam, mais les conclusions théologiques et spirituelles auxquelles ils parviendront , s’ils sont suffisamment honnêtes et intelligents, se situeront à l’inverse des espoirs délirants de madame Vivier Museran.
Là même ou madame Vivier Museran insiste sur la hauteur de vue des déclarations coraniques, nos futurs curés et autres diacres, découvriront toute l’étendue de l’horreur que véhiculent abominablement les lois abjectes de la charia,et qui constituent une partie absolument prépondérante de cet ouvrage.
Si il est bien vrai que la haine du juif, et son expression sont au cœur même du livre Mein Kamf rédigé selon la volonté d’Hitler, il est également incontournable que le coran impose des principes sociaux et juridiques, dont la mise en oeuvre , est responsable de l’écoulement de torrents de sang! à travers l’histoire, et ceci bien avant que le furher nazi prononcent ses discours de Nuremberg.
Les membres du service de l’islam et les évêques de France, lorsqu’ils pleurnichent de manière puérile sur l’arrêt du dialogue avec l’islam, sont en fait fautifs d’un contresens fondamental. Ces prélats tellement naïfs, sont convaincus que la masse des crimes à travers le monde, sont accomplis par de mauvais musulmans devenus terroristes. En réalité les djihadistes n’agissent pas de manière moralement incohérente , mais au contraire en application stricte et fidèle des injonctions impératives contenues dans la charia du coran!
Incapables de développer en eux une vision réaliste et sans concession de l’islam, nos grands benêts d’évêques français commettent également une faute , certainement encore plus grave dans le plan spirituel, c’est de mépriser scandaleusement les anciens musulmans ayant choisi de devenir véritablement catholiques.
Des évêques naïfs et tellement lâches face au terrible péril musulman , aggravant encore plus leur situation morale et spirituelle en refusant la plus élémentaire charité envers de nouveaux convertis ne demandant qu’à être aimés, soutenus , et protégés! Voilà le tableau profondément lamentable que nous offre actuellement la conférence des évêques de France. Je plains avec toute la compassion de ma conscience l’ensemble de mes frères catholiques de France, qui sont obligés de composer avec un quarteron de prélats nationaux, capables de cet impressionnant aveuglement, complété d’une telle absence de charité!
Demain verrons les fidèles catholiques assassinés dans les églises en pleine messe, qu’il se trouvera bien encore un évêque pour continuer à vouloir , envers et contre tout , disculper l’islam, continuer un “dialogue” ne menant bien sur à rien! et refuser de considérer en pleine lumière, les enseignements fondamentaux du code criminel de la charia!
En somme nos évêques me donnent l’impression d’un groupe de rabbin juifs qui , confrontés aux terribles génocides d’Auschwitz, se diront que ces drames sont dus à une regrettable situation d’incompréhension, et continueront d’envoyer des messages chaleureux, en direction de la chancellerie du reich !
Voilà le stricte degré de stupidité auxquels nos prélats sont parvenus, dont la seule explication , se trouve dans leur formation religieuse d’origine, fortement marquée par toutes les doctrines mondaines et débilitantes des années 60 !
Je croirai au dialogue entre les musulmans et les chrétiens lorsque les Imams se désolidariseront des “Frères musulmans” et qu’ils proclameront leur désaccord avec les actes ignobles des terroristes, perpétués au nom de l’Islam, de par le monde.
Tant qu’il ne sera pas porté à la connaissance des chrétiens ce genre de déclaration, tous vos efforts resteront vains.
Si l’Islam est “spirituel” pour certains théologiens ou philosophe musulmans de haut niveau intellectuel, il n’est pas enseigné de cette façon et il n’est pas connu de cette façon par la le musulman de base.
Seuls les Imams “reconnus” pourront faire connaître les attendus de ce dialogue qui, pour ce qu’il est, ne sert à rien en l’état.