Joseph Maïla, né en 1948, est un professeur de sociologie politique et de relations internationales, d’origine libanaise, spécialiste du Moyen-Orient, de l’islam et de la sociologie des conflits. Il est le premier laïc à avoir occupé le poste de recteur de l’Institut catholique de Paris.
De 1997 à 2004, il a été doyen de la faculté des sciences sociales et économiques de l’Institut catholique de Paris dont il devient recteur pour l’année académique en 2004. À la suite de tensions internes sur l’orientation à donner à « la Catho », et estimant qu’il est « mis dans l’impossibilité de poursuivre (son) mandat », il démissionne un an plus tard, à la demande de l’archevêque de Paris, Mgr André Vingt-Trois.
En 2009, il a pris la direction du « pôle religion » créé au ministère des Affaires étrangères français dont la vocation affichée est l’« observation et l’analyse des grandes tendances et mouvements qui affectent les religions à travers le monde ». De 2010 à 2013, il est directeur de la prospective au ministère des Affaires étrangères.
Par ailleurs, il a dirigé le Centre de recherche sur la paix (CRP) et l’Institut de formation à la médiation et à la négociation (IFOMENE) à l’Institut catholique de Paris. Il milite pour la prédominance chrétienne au Liban et l’engagement occidental au profit des chrétiens d’Orient. Éditorialiste au quotidien La Croix, il fait également partie du comité de rédaction de la revue Esprit.
Il a posé sa candidature au poste de Directeur Général de l’UNESCO le lundi 23 septembre 2013, en la résidence de l’Ambassadeur du Liban auprès de l’UNESCO, le Professeur Khalil Karam, au cours d’une conférence de presse durant laquelle il a évoqué son programme et sa vision pour l’UNESCO de demain. Il a mis en relief le message que le Liban voudrait apporter à travers sa candidature, proposée par le Président de la République Libanaise, le Général Michel Sleimane, à savoir un message de dialogue, de tolérance et d’ouverture à un moment où le monde vit des bouleversements sociaux et culturels cruciaux. Il a évoqué l’absence de vision dans la gestion des affaires de l’UNESCO en s’appuyant sur le rapport d’audit de la Cour des Comptes, et la nécessité d’une réforme de l’institution.
Il est opposé à la Bulgare Irina Bokova, titulaire du poste, qui brigue un second mandat, et le Djiboutien Rachad Farah, parti en campagne il y a quelques mois déjà. Selon plusieurs sources, les chances de M. Maïla sont “minces” face à Irina Bokova. Au quai d’Orsay, c’est l’étonnement qui l’emporte. En septembre prochain, le Conseil exécutif de l’Unesco doit voter pour l’un des candidats et c’est à la Conférence générale d’approuver, en octobre, le nom du vainqueur.
Qu’il soit enfin bien reconnu que L’Unesco n’a absolument aucune relation avec la franc-maçonnerie….!!!! absolument rien….
c’est à voir.
il reste un grand propagandiste ciblé et malthusien de l’avortement
M. Maila appartient au premier cercle de affidés épiscopalo-médiatiques : totalement sous contrôle !