Le pape François a accepté le 13 juin la renonciation de Mgr Fernando Isern, nommé évêque du diocèse de Pueblo (Colorado) par Benoît XVI en 2009, à la charge pastorale de ce diocèse. Une démission surprenante et inhabituelle acceptée en application du § 2 du canon 201 (raisons de santé ou autre raison grave) alors que le prélat n’a que 54 ans. L’évêque désormais émérite s’en est expliqué dans un message publié sur le site du diocèse, évoquant des problèmes de santé qui n’étaient pas connus jusqu’à ce jour. Le successeur n’a pas été désigné par le Saint-Siège. Mgr Isern passait pour un disciple de l’ancien archevêque de Miami (Floride), Mgr John Favarola, qui lui aussi démissionna, huit mois avant ses 75 ans, de sa charge pastorale en juillet 2011, mais pour des raisons que beaucoup soutiennent n’avoir rien à voir avec son état de santé (voir ici et là). Il y a désormais huit sièges vacants aux États-Unis.
Il est rare que à 54 ans on soit gravement malade et à point tel que ce soit un empêchement à exercer un ministère ou une profession.
Mais quelles que soient les raisons de sa démission, on aurait tort de vouloir retenir quelqu’un qui veut partir.
Encore faut-il veiller à ce que le partant ou poussé dehors ne parte pas avec la caisse ou des secrets de famille destinés à une vindicte personnelle.
Les ouvriers et la Moisson !
Dieu cher papa on t’aime !
Je ne serais pas étonné que la récente visite inattendue au Vatican du Card-archevêque de New-York ait un lien direct avec une dernière vérification avant le coup de hache à Mgr ISERN! Pourvu que – face à la gangrène “gay”, les autres urgentes amputations soient vite lancées, et pas seulement aux États-Unis!
En effet il y a eu une infiltration homo dans l`Église américaine dans les année 50 et 60. Une femme communiste qui avait écrit a ce sujet aux USA avait participé a cela et avait dit que plusieurs étaient maintenant haut-placé!
Qu’on aimerait qu’en France, il y en ait qui démissionne, ça redonnerait un sacré souffle à l’Eglise moribonde dans certains diocèses
gangrène toi même Jean Paul