Sur Radio Notre-Dame : ici.
Elle prend prétexte du suicide de Dominique Venner, et dénonce des « attaques d’extrême-droite » pour craindre des « violences » de la part de ceux qui ne sont pas d’accord avec elle, sans rappeler le vrai désaccord, qui est son militantisme contre « l’homophobie », mot de guerre, et celui pour « l’alliance civile ».
“J’ai la responsabilité de millions de gens dans ce pays », assure-t-elle, demandant des « garanties » sur la protection et la ligne de la Manif pour tous.
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Dites donc Frigide, c’est donc vrai, vous aviez la responsabilité de millions de gens! Mince alors! Est-ce une délégation du pouvoir accordé par l’archevêque de Paris? En passant il demeure sur le pas de la porte surtout il ne marche pas avec son peuple. Il a dit récemment aux manifestants : de ne pas recourir à la violence. Il n’a rien vu ou alors il confond avec les racailles qui ont tout cassé sur les Champs Élysée et au Trocadéro. Puis afin d’être bien compris, il les enjoint de ne répéter que les slogans autorisés et un non péremptoire à la violence des slogans. Il manque à Paris un Pasteur audacieux tel un Clemens August von Galen qui avait du courage et ne ratait aucune occasion de lancer une attaque frontale contre Hitler. Sauf quelques prélats, dont un cardinal, trop sont confortablement écrasés devant le président. Or leur rôle est d’être des vivants du Christ qui veillent avec l’amour du Christ sur le troupeau qui leur a été confié, de le défendre et de l’aimer de marcher avec lui derrière le Christ. Le saint curé d’Ars disait du pasteur : celui qui prie est comme l’aigle qui peut atteindre de hauts sommets alors que celui qui ne prie pas est comme la poule qui réussit avec grande peine à se hisser dans son espace.
Barjot n’a aucune responsabilité si ce n’est ses dérangements mentaux ! Quelle ne vienne surtout pas Dimanche et qu’elle se fasse oublier, cela vaudra mieux pour tout le monde.
Que Barjot reste chez elle et ne s’occupe de rien. Nous n’avons aucun besoin d’elle, c’est peut-être ce que sa suffisance a du mal à accepter.