Une revue scientifique australe vient de publier une étude tendant à montrer que l’avortement ne réduit pas les risques de maladie mentale pour la femme enceinte mais pourrait au contraire constituer un risque pour son équilibre psychique. Derrière les mots, une réalité d’importance : dans de nombreux pays tels l’Australie et la Nouvelle-Zélande, mais aussi la Grande-Bretagne ou l’Espagne d’avant Zapatero, en attendant l’Irlande qu’on est en train de pousser dans cette voie, le risque pour la santé mentale de la mère est précisément l’une des « exceptions » permettant l’avortement légal. En Angleterre, qui a enregistré plus de 181.000 avortements en 2011, il s’agit ainsi du motif principal invoqué pour justifier le massacre. En Australie et Nouvelle-Zélande, la proportion atteint plus de 90 %.
L’Australian and New Zealand Journal of Psychiatry donne la parole à David M. Fergusson, L. John Horwood et Joseph M. Boden, trois chercheurs en psychiatrie qui se sont penchés sur huit études récentes relatives à des états mentaux constatés sur des femmes à l’occasion d’une grossesse non désirée ou non planifiée : anxiété, dépression, abus d’alcool, usage de stupéfiants, comportement suicidaire.
Les auteurs affirment avoir trouvé des preuves convaincantes de l’absence de lien entre avortement et réduction de taux de problèmes de santé mentale. En revanche ils ont constaté une augmentation « légère à modérée » de l’anxiété, de l’abus d’alcool et de l’usage de stupéfiants et du comportement suicidaire.
Autrement dit : loin d’apporter une solution aux problèmes existants, l’avortement est associé à leur aggravation.
Conclusion de ces scientifiques : « Les données de plus en plus nombreuses suggérant que l’avortement n’apporte pas de bénéfice thérapeutique ne peuvent être ignorées indéfiniment, et il est inacceptable qu’un grand nombre de praticiens autorisent un grand nombre d’avortements sur des bases qui à l’heure actuelle ne sont pas justifiés sur le plan scientifique. »
If anyone would care to look at website: priestsforlife.org
and then find the subsection:
“silent no more” — of women who had an abortion and regret it and testify about it,
hitting the sub-website location:
http://www.silentnomoreawareness.org/testimonies/index.aspx
one finds 1890 TESTIMONIES of HOW any ABORTION DEMOLISHES WOMEN
Why is it not better known?
MONEY — like for denouncing pharmaceutical companies — is the root of the problem.
NOW IN FRENCH:
Ce resultat est tres bien connu aux USA — depuis plus de 15 ans au moins quand un medecin a ecrit un livre
“SILENT NO MORE” –“Plus jamais silencieux” en Francais — ce qu’il avait observe chez ses patientes ayant eu un avortement qu’il pratiquait.
(1) IL s’EST bein sur ARRETE de pratiquer les avortements — et
(2) Beaucoupd des femmes ayant eu un avortement par lui — un bon medecin — mais neanmoins demolies par l’avortement sont venu temoigner pres Dr Pavone , puis a la marche pro-life a Washington DC
.
Le site du pretre Father PAVONE:
priestsforlife.org
a de nombreux — tres nombreux temoignages sur la question des avortements tout en repondant a de tres nombreuses questions: pourquoi les femmes francaises si friandes de bonne sante ne le consultent pas ? Parce qu’elles ne connaissent pas l’anglais?
Plus de 225 millions qui entendent/voient EWTN sont au courant de par les apparitions regulieres de ses temoins a la television Catholique EWTN — ceci depuis au moins 1998 ou est apparu le livre du medecin ci-dessous cite.
Pour se guérir d’un avortement il faut aller voir un prêtre
et lui confier tout les ennuis moraux à la suite de cette
opération avec prières de guérison. A Paris il ,y a des
réunions de ce genre à l’église de ST Nicolas des Champs
avec un prêtrre remarquable.