L’affaire surréaliste née de la décision d’un service de la ville de Miami (Floride) d’interdire aux religieuses des Missionnaires de la Charité, la congrégation fondée par la bienheureuse Mère Teresa de Calcutta, de nourrir les affamés et d’héberger les sans domicile fixe au motif que les religieuses n’ont pas de licence de restauration et d’hôtellerie, se termine d’heureuse manière. Le quotidien The Miami Herald annonce en effet, dans son édition du 4 avril, que le directeur de la conformité aux règles de la ville, Orlando Diez, a décidé qu’il « n’avait pas l’intention de faire fermer le local » des religieuses et qu’elles obtiendraient leur certificat d’activité – ce qui a du se produire lundi dernier. La menace de la ville de Miami avait suscité de très nombreuses protestations, elle avait été prise à la suite de plaintes reçues du voisinage, au motif que les longues queues de personnes venant profiter d’un repas chaud gênaient ce voisinage et lui faisaient peur…
bel exemple de cathophobie
on se croirait dans notre France socialiste
les riches ont peur des pauvres ??
ils feraient mieux d’avoir mauvaise conscience d’en avoir trop quand d’autres – a leur porte,- ‘de longues queues’ – en ont si peu !!!
voila ce que produit une societe dont la culture est basee sur l’argent, car ici ‘the middle class’ : la bourgeoisie, n’est pas une notion sociologique en rapport avec l’aristocratie et le proletariat, mais se refere uniquement au salaire annuel.. vous etes juges, categorises par le fric que vous empochez annuellement.