La Conférence des responsables de culte en France (CRCF) s’est réunie jeudi 4 avril au siège de l’Assemblée des évêques orthodoxes de France, à Paris. Ils sont « évoqué la situation dramatique des otages et, notamment, les otages français au Sahel et de leurs familles », mais aussi « la situation des personnes les plus démunies et sans domicile fixe », en particulier celle « faite aux Roms ».
Étaient présents le cardinal André Vingt-Trois et Mgr Laurent Ulrich (président et vice-président de la Conférence des évêques de France, le second étant bien placé pour succéder au premier lors de la prochaine assemblée plénière de la CEF), le pasteur Claude Baty et le pasteur Laurent Schlumberger de la Fédération protestante de France, le métropolite Emmanuel, le métropolite Joseph et Carol Saba représentant l’Assemblée des évêques orthodoxes de France, le Grand Rabbin Gilles Bernheim et le rabbin Moshé Lewin, Anouar Kbibech pour le Conseil français du culte musulman et enfin Marie Stella Boussemart et M. Olivier Wang-Genh de l’Union bouddhiste de France.
« Nous déclarons fermement que nul ne peut se prévaloir des religions que nous représentons pour légitimer des violences, des ségrégations et même du mépris à l’égard d’un être humain ».
Sur la crise économique et sociale, le CRCF déclare :
« La situation faite aux Roms dans notre pays alarme particulièrement, les responsables des différents cultes en France. Depuis quelques semaines, des expulsions massives sont mises en œuvre (Lyon, Lille, Ris-Orangis…), y compris pendant la période de trêve hivernale ».
« Comme responsables de culte en France, nous voulons rappeler la dignité et le respect qui est dû à chaque personne, quelle que soit son origine et sa situation, la nécessité pour les pouvoirs publics dont nous savons la difficulté de la tâche, d’un travail en lien avec les associations, qui sont forces de proposition pour la scolarisation des enfants, l’accès au logement, la mise à l’abri des plus fragiles et la recherche d’emplois, la nécessaire coopération avec les pays d’origine ».
A propos de l’affaire Cahuzace et de la crise du régime, ils affirment :
« Sans respect des personnes et des fonctions et sans fiabilité de la parole, il n’y a pas de vie démocratique possible. La République n’est pas en danger, mais elle demande un sursaut de chacun ».
Sur la dénaturation du mariage : rien.
Mettre toutes les religions dans le même sac conforte les gauchistes dans leur obstination à ne rien vouloir entendre des défenseurs du mariage, de l’unique mariage voulu par Dieu. Cela part manifestement d’un bon sentiment mais n’est ce pas équivoque ?
Ces déclarations semblent un peu “enfoncer des portes ouvertes”, non ?
Oui, cela finit par faire mal de partir tôt le matin,la 4ème fois, d’endosser le tee-shirt jaune de l’équipe d’accueil, sans avoir entendu un seul petit mot d’encouragement de son curé. Sans avoir jamais entendu un ” JE pense que..,”
En revanche, qu’elle joie de revoir un ancien stagiaire séminariste, lui aussi devenu curé guider son groupe de paroissiens.
La foi nous unira toujours avec ces évêques et ces prêtres qui ne se sont pas engagés mais le cœur n’y est plus.
J’ai été déçue en entendant le cardinal employer le mot ” libéralisme” à propos des dévergondages sexuels et autres.
Libéralisme s’oppose à Autoritarisme et peut-être à terrorisme intellectuel.
Mais non pas à règles .
La Libéralité et les personnes d’esprit libéral sont blessées par l’amalgame.