En attendant le retrait de la loi légalisant le « mariage » des couples de même sexe, il y a la loi Peillon et sa promotion accélérée de l’« éducation sexuelle ». Et il faut comprendre que tout cela relève d’une même logique, et d’une même logique qui s’applique dans de très nombreux pays du monde. C’est une entreprise globale d’incitation à la débauche qui, comme le « mariage pour tous », porte une signature qu’il n’est pas bien difficile déchiffrer.
Trois brefs exemples aujourd’hui.
• Une association dite « caritative » en Irlande, financée par des fonds publics (et aussi par google), vient de se voir retoquer pour avoir publié en ligne des conseils pour les relations sexuelles à trois, sur un site destiné aux adolescents.
Spunout.ie a été contraint de modifier un peu la page qui faisait carrément la promotion de ces pratiques en affirmant que c’était le moyen d’« injecter un peu de passion sérieuse dans leurs activités dans la chambre à coucher ». Et de mettre en garde : « Si vous êtes au sein d’une relation mais flashez secrètement sur quelqu’un d’autre, inviter ce garçon ou cette fille pour une relation à trois pourrait entraîner de profondes blessures : mieux vaut garder cette pratique juste pour l’amusement. »
Le public étant évidemment moins « avancé » que ces idéologues de l’amoralité, lorsque l’affaire a été ébruitée, des protestations se sont fait entendre et la page contient maintenant des conseils moins évidemment choquants. Il n’empêche : l’idée est quand même de dire que ce type de relation est acceptable pourvu que les participants soient d’accord et ne se sentent pas piégés, et qu’à ce « respect » il faut systématiquement ajouter l’usage de préservatifs. En pensant bien à en changer en cas de changement de partenaires, « sans quoi tu risques d’attraper des infections assez méchantes ».
L’idée est d’avertir les jeunes avant même qu’ils aient eu leur première expérience sexuelle. Le message est clair : allez-y, rien que pour l’amusement !
• En Espagne, c’est le gouvernement de la région andalouse, la Junta, qui vient de distribuer un e brochure sur l’éducation affective et sexuelle dans les écoles publiques et destiné aux enfants dès 12 ans. Cette information d’ABC reprise par HazteOir révèle qu’on y enseigne aux très jeunes adolescents la meilleure position pour leur première fois en précisant qu’à leur âge tout cela est très normal. Le bon moment pour commencer : celui où les « membres du couple sont capables de jouir et d’arriver à l’orgasme, seuls ou ensemble ». En ajoutant que cela « n’a absolument rien à voir avec l’âge ».
Bien sûr, pour éviter que tout cela ne le fasse passer pour hétéronormé, le gouvernement a fait préciser à l’intention de ces jeunes qu’il existe trois manifestations de l’identité sexuelle : l’hétérosexualité, l’homosexualité et la bisexualité, également valables.
Quant à la finalité de la sexualité ? Les autorités éducatives d’Andalousie font savoir qu’entre 11 et 16 ans, il s’agit de « nous sentir bien, de nous connaître nous-mêmes et de connaître notre partenaire, de faire des expériences nouvelles. » Je vous passe les détails : ils sont donnés crûment.
Parmi les « aspects secondaires », toujours selon la Junta, « faire l’expérience de sentiments amoureuxn avoir des enfants ou nous charger d’énergie positive ».
HazteOir organise une pétition pour que les parents puissent faire connaître leur colère et demander le retrait immédiat de la brochure.
• A Chicago, les autorités chargées des écoles publiques viennent de développer un programme d’éducation sexuelle qui y sera obligatoirement enseigné dès 2016 à partir des classes maternelles. A priori, les parents d’élèves pourront choisir de ne pas faire participer leurs enfants. Mais ça y est, le curriculum est fixé et prévoit un enseignement progressif tout au long de l’école primaire : cela commence avec la découverte du corps et le droit de se défendre pour aboutir en classe de 7e à la reproduction humaine et à la contraception. A ce moment-là ils auront déjà « couvert » les aspects physiques, sociaux et émotionnels de la puberté ainsi que les manières d’attraper le sida.
J’allais oublier : le programme comporte également une sensibilisation aux questions de l’orientation sexuelle et de l’identité de genre…
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Cette entreprise de débauche généralisée touche au matage et à l’enfant. Déjà ie Figaro Magasine a présenté,voici trois mois, des séries de mariés somptueux qui ne se contentaient pas de leur amour mais attendaient à l’évidence quelqu’un d’autre avant de se retirer dans la chambre à coucher après la fête .
Les photos étaient de toute beauté, à la hauteur du but.
Et le nom de la Loi n’est pas mariage pour les homosexuels, ce qui aurait été une simple addition. Mais pour TOUS
Quelle horreur ! Quelle monde déliquescent et déshumanisé version mondialistes (appelant les par leur N O M) .
Un monde sans contrainte et sans barrière pensent t’ils !
Un monde qui va dans le mur, un monde sans foi ni loi. Pauvre monde, sans Sagesse, sans Lumière, je plains ceux qui pondent de tel raisonnement, s’ils veulent créer l’enfer sur terre on agirait pas autrement, en attendant l’Enfer définitif et ETERNEL (car il existe l’Enfer)
Heureusement que la Vrai Lumière et venu dans le monde, cette Lumière c’est Jésus le Christ.
Si le Christ n’existait pas , pauvre Monde, ce serait la Loi du plus fort du plus pourri du plus violent (ce que nous voyons hélas). Mais pour quelques uns il y a une Espérance et j’en suis
eugène
moi je refuse catégoriquement que mes enfants suivent ces cours abominables , à chaque fois que c’est au programme mes enfants manquent les cours. On est surnommé la famille qui fait sa loi… il ne me laisse pas le choix!
Si vous m’indiquez à quelle adresse l’envoyer, je vous expédie le programme rennais de la semaine pour les droits des femmes, payé avec nos impôts.
Dieu vous garde
Ce qu’on appelle le gender est le lavage de cerveaux de nos petits enfants et jeuns adolescent. Il n’on ni la foi ni l’esprit ccritique développé. C’est une honte !
En réponse, je vous livre ce petit poème de Robert Lamoureux :
Le rosier ne sait pas comment se font les roses
La lionne a des lionceaux sans avoir rien appris
Aimer se reproduire est dans l’ordre des choses
Moi-même je l’ai su sans qu’on m’en ait rien dit
Laissez donc la nature expliquer ces mystères
Laissez nos enfants croire aux enfants dans les choux
Ils sauront en leur temps ce qu’il convient de faire
Et ce q’ils devront faire, ils le feront sans vous.
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