Organe d’information des Œuvres pontificales missionnaires du Vatican, dépendant de la Congrégation pour l’évangélisation des peuples, l’agence Fides vient de consacrer une dépêche, le 20 janvier, au « nouveau Pape et aux attentes de l’Asie ». Cette dépêche repose sur une note signée d’un cacique franciscain, le Père Nithiya Sagayam, secrétaire exécutif du Bureau pour le Développement humain de la Fédération des Conférences épiscopales d’Asie (FABC). Et le contenu en est à peu près aussi peu orthodoxe que celui des évêques allemands autorisant la pilule du lendemain en cas de viol.
« Le nouveau Pape, explique le Père Sagayam, aura pour mission de “rajeunir le monde” et non seulement l’Église. Le monde n’a pas perdu l’espérance en l’Église catholique. Mais l’Église se fonde sur l’Évangile. La mission de l’Église est centrée sur le Christ et non pas sur les canons ou sur les homélies. Il est très important que l’Église ne soit pas comme une organisation laïque, prise par des questions d’argent et de pouvoir, mais qu’elle accueille le cri et les angoisses des hommes, en particulier des pauvres et des marginalisés ».
Passe encore.
« Le cri du Pape devrait être celui du monde : souvent, on identifie l’Église à un organisme qui s’occupe de contraception, de mariages homosexuels, d’ordination des femmes, de Messe en latin. La quantité d’énergies dépensée pour de telles questions est excessive par rapport à celle dépensée pour les problèmes brûlants du monde : la violence, la guerre, la production d’armements, la discrimination et l’exploitation des pauvres et des marginalisés. Les peuples d’Asie désirent que l’Église, plutôt que de regarder ad intra, à l’ensemble de ses problèmes internes, soit tournée ad extra, portant le message du Christ à propos de toutes les questions qui agitent la planète, telles que la pauvreté et l’oppression. Que le Magistère du nouveau Pape aide l’Église à abandonner les tentations d’autoréférentialité et, dans le sillage du Concile Vatican II, à s’approcher des joies et des angoisses des peuples du monde ».
Là, aussi bien le fonctionnaire franciscain que l’agence Fides, qui n’introduit aucun bémol, se retrouvent en porte-à-faux total avec le magistère et en particulier celui de Benoît XVI qui n’a cessé de rappeler les fondements de l’identité et de la singularité du sacerdoce tout au long de son pontificat, proposant même à l’Église une Année Sacerdotale dont on a l’impression qu’elle a échappé totalement au Père Sagayam.
Pour rafraîchir les idées des rédacteurs de l’agence Fides, voici donc deux citations du Saint-Père lors de l’Annus Sacerdotalis (2009/2010) :
« Il est important de surmonter de dangereux réductionnismes, qui, dans les décennies passées, en utilisant des catégories plus fonctionnalistes qu’ontologiques, ont présenté le prêtre presque comme un “agent social”, risquant de trahir le sacerdoce du Christ lui-même », Benoît XVI, 12 mars 2010, discours au congrès théologique de la Congrégation pour le Clergé
« Le devoir primordial du prêtre est d’annoncer le Christ, la Parole de Dieu faite chair, et de communiquer la grâce divine multiforme porteuse du salut à travers les sacrements », Benoît XVI, 16 mai 2010, message pour la 44ème journée mondiale des communications sociales.
Il existe un livre, “LE TRÊTRE”, qui raconte l’histoire vraie de l’infiltration de l’Eglise par les communistes, pour la détruire par l’intérieur. Ce “Fonctionnaire” Franciscain, n’en serait ils pas un ? D’ailleurs, il doit y en avoir d’autres, quand on voit les positions de certains prêtres (ou trêtres), évêques ou autres soi disants pasteurs de l’Eglise !
il on à côter de la plaque
l’église ne doit pas ce modernisser elle ne doit pas changer on à bessoin d’homélies c’est ce qui nous nourrie ( notre âme )et la messe aussi, pour la prière se qui nous permet d’être de plus en plus intime avec notre Seigneur , mais voilà mêmes certains évêques ( prêtres ) on peur que le christ prenne le volant pour conduire leur vie ( leur ministère ) et c’est sur qu’il vous dirais certainement pas de modernisser l’église ( DIEU ) , elle ne doit pas changer c’est nous et le monde qui devont changer il n’y à pas bessoin d’être prêtre pour comprendre ça .
aussi non fini les vocations c’est une très grave chose que de suivre le monde qui est actuellement plus commander par SATEN !! il faut que le monde soit à l’image de DIEU ( l’unique ) . qui est AMOUR . vous vous rendez compte mêmes les chrétiens n’on pas de BIBLE chez eux mais des bêtises oui ( comme autre journeaux de mode ect……… ils sont peur de lire la bible par ce qu’il savent bien que petit à petit le Seigneur les changera et les appèleront peut-être à le suivre dans telle mission donner par DIEU lui mêmes . les enfants non cas pas avoir de rapports entre eux avant leur MARIAGE quand il seront en âge de le faire . pauvre FRANCE et heureusement que pour l’église le Seigneur ne permétra pas un PAPE moderne comme les gens le voudrais pour soit dissant être libre c’est uniquement le Seigneur qui nous rend libre .. Seigneur protège ton église les personnes d’éraissones !!! soit toujours le roc sur qui nous pouvont nous reposer et surtout ton église protège là de la folie des hommes à tous vouloir changer AMEN .
les parents on tous simplement bessoin d’être éduquer il ne sont pas eux mêmes adulte comment voulez vous qu’ils éduque leurs propre enfants les génération avant étais moins bête !!! et la liturgie c’est ce qui nous est donner par le Seigneur et la liturgie est très belle !!!
Comme quoi, l’intelligence des choses prime la connaissance : comment est exprimé dans un Français peut-être mal écrit, le bon sens de ce que doit savoir tout Chrétien et en premier lieu, tout prêtre. LA CONVERSION DES COEURS, ce dont Benoit XVI appelle l’église !
Toujours cette bonne vieille théologie de la libération !
c’est absolument vrai DIEU nous rend LIBRE les autres choses nous en sommes exclave la plus par du temps hélas !!!
DIEUnous red heureux il n’y ç pas de tricherie avec lui ni de mensonges !!!
Tous ces donneurs de leçons ne sont agités que par l’ORGUEIL. tout prêtres qu’ils sont. Ce P. Sagayam ne va pas être le dernier jusqu’à la fin du conclave et même après. Rappelons-nous certains appelant Benoît XVI le Panzer Kardinal ! Un homme habité par l’humilité !
Il y avait dans ce comportement un relent d’anti “bosch” !
Comme par hasard, les deux exemples de la “vraie” mission accordée à l’Eglise sont le désarmement et la violence : là où la totalité des hommes politiques s’affairent déja ; qu’ajouterait l’Eglise dont n’importe quel enfant sait qu’elle ne peut qu’être contre en principe ? Assez de cette tendance débile à ne voir que le côté “bonne soeur” de notre Eglise, dont la raison d’être est de nous parler de Dieu !