L’archevêque de San Francisco, Mgr Salvatore Cordileone, vient d’accorder une interview au Catholic Herald britannique.
Phrase à retenir :
« Légiférer pour affirmer le droit des personnes de même sexe de se marier, c’est comme légaliser l’allaitement paternel. »
Quelques autres paroles fortes :
« La vérité est claire. Vouloir que les enfants soient liés à un père et une mère ne constitue une discrimination à l’égard de personne. Chaque enfant a un père et une mère, et soit vous soutenez la seule institution qui assure ce lien d’un enfant avec son père et sa mère ou vous ne la soutenez pas. L’adoption, par une mère et un père, est le miroir de l’union naturelle entre une mère et un père et fournit l’alternative heureuse et équilibrée lorsqu’un enfant ne peut pas être élevé par ses parents biologiques. »
Mgr Cordileone récuse le recours à la théologie dans la bataille contre le « mariage » gay :
« Si vous utilisez la théologie, vous faites leur jeu et ils vous diront que vous utilisez la religion pour prendre le contrôle des gens. Le mariage ne se trouve pas d’abord dans la théologie : le mariage est dans la nature. La théologie construit sur la base de l’institution naturelle, en nous donnant un sens plus profondément mystique et surnaturel de sa signification. »
Et il appelle à l’action, après que l’intervieweuse Mary O’Regan, note que pour beaucoup, prendre part au débat expose à des critiques, des problèmes, voire des pertes d’emploi. Ayant rappelé qu’il est plus facile à cet égard aux clercs de s’exprimer, il précise :
« Nous battre pour le mariage est notre façon d’aimer Dieu, et cette bataille est le don particulier que Dieu a donné à notre génération. C’est notre épreuve spécifique, et en la surmontant nous pouvons atteindre à la grandeur spirituelle. Cela entraînera des souffrances que de nous opposer au mariage gay, une chose qui menace d’une telle destruction le sens du mariage naturel, qui est une institution orientée vers l’enfant. »
Quant aux termes « mariage gay », il recommande de n’y avoir recours que « parcimonieusement », car il s’agit d’une impossibilité naturelle : à force d’employer les mots, nous pourrions nous laisser tromper jusqu’à croire qu’il s’agit d’une réalité authentique qui n’attend que l’approbation du gouvernement pour la rendre légitime.
L’interview aborde bien d’autres thèmes, et notamment, en profondeur, celui du rite extraordinaire.
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Exact !Ce sont des paroles sensées !
De toutes les façons ,examinons la nature :deux boeufs mâles :on ne dit pas “un couple de boeufs “mais une PAIRE de boeufs .”couple “et “paire” n’ont pas la même signification .
l’HOMOSEXUALITÉ est une perversion au même titre que la pédophilie,l’inceste:le passage à l’acte de pulsions non traitées par le surmoi .Le “surmoi” implique l’interdit ,les tabous nécessaires à la pérennité de l’espèce ,à la relation équilibrée entre les personnes ausein des familles et de la société.
Il serait intéressant de faire un sondage et une étude sur les fantasmes sexuels qui opèrent chez les homosexuels au moment de la relation intime ,au moment des rapports sexuels (les pensées qui arrivent à ce moment -là et qui les incitent à faire cet acte )Les pensées sont révélatrices du degré de perversion qui habite l’individu au moment où il s’adonne à son activité sexuelle :c’est le fond de la personne .
Affligeant ! cela nous montre à quel point une certaine partie de l’Évêché à perdu le sens du sacré !