Aux informations de ce matin, je lis que le SYNGOF (syndicat des gynécologues-obstétriciens) s’inquiète des effets secondaires des patches et anneaux contraceptifs qui, pas plus que ceux des pilules de 3e et 4e génération, ne font l’objet de mises en gardes publiques claires. Voir notamment ici.
Ce blog en parlait avec précision ici dès mai 2012, renvoyant vers une étude danoise qui voit le risque de thrombose 6 à 8 fois plus élevé chez les femmes utilisant ces contraceptifs que chez celles n’utilisant pas de contraception hormonale, et ici dès avril 2011, rendant compte de procès engagés aux Etats-Unis contre l’anneau NuvaRing.