Depuis quelques semaines, plusieurs constitutionnalistes et parlementaires se sont exprimés, soit en privé, soit en public, pour dire que le funeste projet de loi gouvernemental sur le “mariage” homosexuel n’était probablement pas constitutionnel.
Il y a des arguments techniques à cela (l’inégalité entre les enfants qu’instaurererait le nouveau code civil, le viol manifeste des articles 10 et 11 du préambule de la constitution de 1946, ou encore l’inintelligibilité de la loi qui serait entraîné par le fait que le mot “parents” prendrait des sens différents selon les sections du code civil) – sans parler du non respect de certaines conventions internationales qui ont élaboré progressivement un “droit de l’enfant”, en rejetant tout “droit à l’enfant” que prétend mettre en oeuvre le texte de loi (mais le conseil constitutionnel n’étant pas juge de la conventionnalité, il n’est pas certain qu’il puisse se saisir de ce dernier argument, que nous aurons en revanche à faire valoir devant les tribunaux internationaux).
Mais il y a surtout une idée très forte, qui dépasse la sphère strictement juridique et même la sphère strictement politique: l’idée que ce projet de loi entraîne une mutation anthropologique profonde (même Mme Taubira l’a déclaré) et qu’en changeant la conception du mariage et de la famille, en transformant radicalement la conception du père et de la mère, entraîne de facto une modification du contrat social. Or, une modification du contrat social n’est pas accessible au simple législateur, mais seulement au législateur constitutionnel.
Je précise, au passage, que je suis très hostile aux principes politiques de Jean-Jacques Rousseau sur ce contrat social que les hommes pourraient librement négocier. Ces principes me semblent radicalement anti-chrétiens. Selon moi, l’homme n’est pas maître de “constituer” la société; c’est la prérogative de Dieu seul. Mais, enfin, mes réserves n’ont, dans le cas d’espèce, pas beaucoup d’intérêt, puisque je suis bien forcé de constater que cette discussion va avoir lieu dans le cadre des principes constitutionnels rousseauistes.
Dans le cadre constitutionnel actuel, donc, tout le monde sent plus ou moins confusément que cette loi sur le “mariage” homosexuel excède de beaucoup les pouvoirs du parlement.
D’où l’idée d’une réforme constitutionnelle, qui se répand donc depuis plusieurs semaines: si, vraiment, le gouvernement veut dénaturer le mariage, il doit réformer la constitution. Le hic, c’est qu’il n’a pas la majorité requise des 3/5e de l’Assemblée et du sénat. Il ne lui reste donc qu’une solution: passer par le référendum.
Encore une fois, je dis tout net que je ne crois pas que le référendum ait ce pouvoir extravagant de modifier la nature humaine. Mais je comprends sans peine que, même dans le cadre de la démocratie moderne, le législateur se sente embarrassé par un texte semblable.
On comprend aussi facilement que la campagne référendaire serait l’occasion d’avoir le débat dont la société française a été privée par le diktat de la majorité.
On comprend enfin, toujours sans difficulté, que le référendum pourrait offrir une porte de sortie honorable pour François Hollande et son gouvernement et il peut être de bonne tactique de ne pas les acculer à passer en force. A ce sujet, je dois tout de même faire remarquer que cela pourrait bien être l’exemple-type de la fausse bonne idée: les ultras de la majorité écolo-socialo-communiste considéreront comme une trahison le fait de passer par le référendum tout autant que le fait de retirer le texte. Et la majorité a toutes les chances de se déchirer sur l’acceptation ou non de la voie référendaire.
Il n’empêche. Je ne vois, pour ma part, aucune difficulté à ce qu’une minorité d’opposants, versés dans la science juridique, suggère cette voie référendaire.
Mais il est évident que le référendum ne peut pas être la revendication de la manifestation du 13 janvier.
Cette dernière ne peut réclamer qu’une chose: le seul objectif commun à tous les manifestants, qui est le retrait du texte. Les modalités intéressent certainement les juristes, les parlementaires et quelques observateurs. Mais, nous, manifestants de base (même quand nous ne sommes pas tout à fait ignorants des réalités juridiques et politiques), nous battons, non pas pour un débat, non pas pour des états-généraux, non pas pour un référendum (plus exactement, nous ne nous battons pas tous pour ces points que certains d’entre nous défendent). La seule chose qui nous réunisse, c’est que nous refusons la dénaturation du mariage et la prise en otage des enfants.
Mettre en avant les modalités (sur lesquels nous sommes inévitablement partagés), c’est évidemment nous diviser. Et cela ne servira ni la cause du référendum éventuel, ni la cause du retrait pur et simple. Cela servira les partisans de la dénaturation du mariage.
La responsabilité historique que nous avons le 13 janvier, c’est de présenter un front uni sur un, et un seul, sujet. Nous l’avons dit à maintes reprises: nous sommes très différents les uns des autres et il est bien évident qu’entre Renaissance catholique et La gauche pour le mariage républicain, il y a bien peu de points d’accord. Mais il y en tout de même un, et c’est précisément le motif de notre présence le 13: nous refusons tous la dénaturation du mariage.
Alors, de grâce, ne jouons pas avec le feu en faisant mine d’être les plus malins! Une manifestation n’est pas un débat subtil entre experts. Elle ne peut pas tenir un langage argumenté et raffiné. Elle ne peut obéir qu’à des logiques simplissimes (ce qui ne veut pas dire simplistes, car beaucoup d’entre nous ont longuement réfléchi au sujet et viendront avec un argumentaire solide le 13 janvier): un non et un oui. Un non à la dénaturation du mariage et un oui à la famille traditionnelle.
Mais qu’est-ce qui motive ces hommes politiques au point de détruire des fondements ? Mais qu’est-ce qui motive ces apprentis sorciers qui se fouent des conséquences pour la société ? A qui obéissent t’ils? A qui rendent t’ils des comptes …Nous n’avons pas plus besoin de tous ces guignols déjentés qui obéissent à des ordres farfelus venus hors de FRANCE , et qui sont incapables de gérer leur quotidien . Ils leur faut une nounoue, un sein à têter …et leur clouer le bec ! c’est affligeant . consternant de stupidités. Si la France a eu le malheur d’avoir des philosophes sortis de route , rien ne nous oblige à suivre leur enseignement . HOMMES POLITIQUES, si votre cerveau est en panne , sortez la batterie de secours qui s’appelle le BON SENS…et ayez une vie en règle , vous verrez votre cerveau n’attend que cela ou bien nous n’avons plus besoin de vous !
De l’homophobie.
Un vrai chrétien n’a pas à se justifier, si on le traite d’homophobe.
Un chrétien a pour Chef, le Maître de la Vie, Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST Lui-même.
Etait-Il homophobe, Lui ?
Lui qui a donné sa Vie sur une croix par Amour de l’humanité !
Lui qui a accueilli les malades et les pécheurs ?
Lui qui adit à la femme adultère : « Va, et désormais, ne pèche plus.
Nous chrétiens, nous ne sommes pas homophobes mais péchéphobes.
Tout homme, s’il n’y prend garde, peux tomber dans ce péché immonde qu’est l’homosexualité.
Car ne vous y trompez pas, contrairement à ce que l’on voudrait nous inculquer, l’homosexualité est un des plus graves péchés que l’humanité porte dans ses gènes. Nous avons un devoir, de chrétien, de le combattre de TOUTES NOS FORCES, avec les armes que nous donne l’ESPRIT-SAINT, tout en respectant le pécheur qui en est la première victime.
Vous viendrait-il à l’idée de défiler avec les voleurs ou les menteurs avérés ! Et qui le revendiqueraient, sous une même bannière, pour revendiquer la légalisation du vol ou du mensonge ?
Nous sommes, nous chrétiens, le ferment dans la pâte.
Si nous dénaturons le ferment, qu’est la Foi en DIEU, ainsi que le respect de Ses Commandements, le combat contre l’homosexualité est perdu avant d’avoir eu lieu.
C’est pourquoi, il faut maintenir la pression et même la renforcer. Il faut maintenir le pèlerinage du dimanche 13 janvier 2013 à 13h. à Paris, mais dans un autre lieu que celui prévu.
Je pense au Sacré-Cœur de Montmartre, Haut lieu de la Chrétienté. Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST nous y attend les bras ouverts. Lui saura nous envoyer Celui qu’Il nous a promis, l’ESPRIT-SAINT, le Consolateur de l’humanité souffrante.
Alors en avant, courage, pas de crainte, pas de peur, la victoire est au bout du chemin.
Mais pour cela, il faut faire taire nos divisions entre chrétiens. Il faut se rassembler sous la seule bannière qui vaille, celle de Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST. Car figurez-vous qu’Il est vivant !
La cloche a sonné ! Alléluia !
Maranatha !
Merci !
JFL
Post-scriptum : « Les yeux fixés sur Notre Seigneur JÉSUS-CHRIST, entrons dans le combat de DIEU ! »
Paroles de Monsieur l’Évêque André FORT .
Bravo ! Ne nous trompons pas de priorités !
Tout ceux de nos frères Chrétiens qui ont votés, y compris les membres du Clergé, n’avaient qu’à bien voter. Maintenant faut pas se plaindre. On récolte ce que l’on sème.
De l’homophobie.
Un vrai chrétien n’a pas à se justifier, si on le traite d’homophobe.
Un chrétien a pour Chef, le Maître de la Vie, Notre Seigneur JESUS-CHRIST Lui-même.
Etait-Il homophobe, Lui ?
Lui qui a donné sa Vie sur une croix par Amour de l’humanité !
Lui qui a accueilli les malades et les pécheurs ?
Lui qui a dit à la femme adultère : « Va, et désormais, ne pèche plus. »
Nous chrétiens, nous ne sommes pas homophobes mais péchéphobes.
Tout homme, s’il n’y prend garde, peux tomber dans ce péché immonde qu’est l’homosexualité.
Car ne vous y trompez pas, contrairement à ce que l’on voudrait nous inculquer, l’homosexualité est un des plus graves péchés que l’humanité porte dans ses gènes. Nous avons un devoir, de chrétien, de le combattre de TOUTES NOS FORCES, avec les armes que nous donne l’ESPRIT-SAINT, tout en respectant le pécheur qui en est la première victime.
Vous viendrait-il à l’idée de défiler avec les voleurs ou les menteurs avérés ! Et qui le revendiqueraient, sous une même bannière, pour revendiquer la légalisation du vol ou du mensonge ?
Nous sommes, nous chrétiens, le ferment dans la pâte.
Si nous dénaturons le ferment, qu’est la Foi en DIEU, ainsi que le respect de Ses Commandements, le combat contre l’homosexualité est perdu avant d’avoir eu lieu.
C’est pourquoi, il faut maintenir la pression et même la renforcer. Il faut maintenir le pèlerinage du dimanche 13 janvier 2013 à 13h. à Paris, mais dans un autre lieu que celui prévu.
Je pense au Sacré-Cœur de Montmartre, Haut lieu de la Chrétienté. Notre Seigneur JESUS-CHRIST nous y attend les bras ouverts. Lui saura nous envoyer Celui qu’Il nous a promis, l’ESPRIT-SAINT, le Consolateur de l’humanité souffrante.
Alors en avant, courage, pas de crainte, pas de peur, la victoire est au bout du chemin.
Mais pour cela, il faut faire taire nos divisions entre chrétiens. Il faut se rassembler sous la seule bannière qui vaille, celle de Notre Seigneur JESUS-CHRIST. Car figurez-vous qu’Il est vivant !
La cloche a sonné ! Alléluia !
Maranatha !
Merci !
JFL
Post-scriptum : « Les yeux fixés sur Notre Seigneur JESUS-CHRIST, entrons dans le combat de DIEU ! »
Paroles de Monsieur l’Évêque André FORT .