Mgr Delmas, évêque d’Angers, a confié qu’il avait été informé en janvier 2012 de l’affaire qui secoue actuellement l’Université catholique de l’Ouest et que j’ai rapportée ici. L’évêque déclare :
« J’ai reçu séparément les deux assistantes à leur demande. Je les ai écoutées, je les ai crues mais elles m’ont demandé de respecter la confidentialité de ces échanges ».
Mgr Delmas a ensuite convoqué le vice-recteur, Robert Martin de Montagu :
« Je lui ai dit qu’il fallait qu’il cesse ses agissements. Il a reconnu les faits devant moi. Il n’a pas essayé d’excuser ses gestes. »
Néanmoins, Mgr Delmas n’en a pas informé l’UCO.
A l’heure ou l’église catholique se trouve confrontée à des agressions de plus en plus graves, et un temps ou les chrétiens du monde sont victimes d’un génocide méprisé des gouvernements et des médias, il serait normal que la masse des fidèles ainsi que leurs pasteurs , resserrent les rangs, se recentrent sur leur véritable foi, et ceci dans le but de faire front et donc survivre!
Autrement dit tout comportement déviant au sein même de l’église, dans le domaine de la morale ou la spiritualité , est encore plus préjudiciable qu’en période de calme et d’évangélisation satisfaisante!
Les personnes coupables de comportements abhérrants doivent donc se corriger et se confesser de leurs erreurs, au plus vite