Le président de la Fordham University – crée en 1851 par les jésuites –, le Père Joseph McShane, S.J., avait, voici une dizaine de jours, estimé que la journaliste conservatrice Ann Coulter était « trop haineuse et trop inutilement provocatrice » pour qu’on l’invite à parler dans son université newyorkaise. Mais il n’a rien objecté à ce qu’on invite pour qu’il s’y exprime le 21 novembre dernier, Peter Singer, un philosophe “moraliste” australien, professeur d’éthique à la Princeton University. L’homme n’étant pas très connu des masses laborieuses de ce côté-ci de l’Atlantique, en voici un court portrait brossé par le magazine catholique First Things le 22 juin 2011 :
Singer a passé toute sa vie à justifier l’injustifiable. Il est le père fondateur du mouvement de libération de l’animal (…). Il est aussi un défenseur de l’assassinat des personnes âgées (si elles sont atteintes de démence sénile), des nouveaux nés (pour n’importe quelle raison et jusqu’à l’âge de deux ans), de la nécrophilie (en supposant qu’elle puisse être consentie), de la bestialité (en supposant aussi qu’elle puisse être consentie).
Si Peter Singer est un scandale ambulant que dire de Fordham dont la devise est « Sagesse et doctrine » (sic !) ? Sacrés jésuites…Ils n’en ratent pas une !
Il est atteint de la démence ce supposé compagnon de Jésus. Il choisit d’inviter le disciple du diable. Les prophéties que j’ai lues ne mentent pas si tant est que dans la compagnie de Jésus il y ait beaucoup d’égarés.
Folie. Quand le pape noir va-t-il voir à veiller sur son troupeau afin qu’ils se convertissent et dans l’amour consentent à suivre en vérité Jésus.