C’est l’un des effets bénéfiques du motu proprio Summorum Pontificum de nous permettre de redécouvrir des rites antiques et vénérables que seule la mise en place brutale de la réforme liturgique post-conciliaire avait voulu abolir. C’est ainsi que le rite dominicain se déploie auprès d’un public toujours plus large.
En France, les fidèles de Chémeré-le-Roi peuvent y assister tous les dimanches et jours de semaine, au couvent Saint-Thomas d’Aquin, de la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier. Celle-ci sera en pèlerinage dimanche prochain, 28 octobre, pour aller prier Notre-Dame de Pontmain (messe chantée à 16h15 à l’église paroissiale). Une occasion pour ceux qui ne connaissent pas ce rite de le découvrir dans une démarche de pèlerinage.
C’est, ailleurs qu’en France, ce qu’ont pu expérimenté les pèlerins d’Oxford (Angleterre), l’antique cité étudiante, où une messe selon le rite dominicain a été célébrée récemment au couvent Blackfriars par le père Thomas Crean, OP, assisté d’un diacre et d’un sous-diacre, dans le cadre d’un pèlerinage organisé par la Latin Mass Society.