Sans remettre en cause le scandale des abus sexuels du clergé aux États-Unis, ce blogue a parfois signalé qu’un nombre non négligeable des accusations portées étaient fausses et obéissaient non à un souci de justice mais au goût du lucre. Bill Donohue , président de la Catholic League, signalait un cas dès plus suspect dans un communiqué du 22 août. En voici la traduction.
Un type a déposé plainte hier [21 août] contre l’archidiocèse de Chicago, prétendant qu’il avait été caressé par un frère augustin. Mais il y a plus d’une raison de s’interroger sur ses motivations. Le frère accusé est mort. Personne n’a jamais déposé une quelconque plainte contre lui. Il ne travaillait pas dans l’archidiocèse. La “victime” affirme qu’elle ne s’est souvenue des faits qu’à partir de 2011. L’abus s’est passé voici quelque 35 ans.
Les vraies victimes méritent qu’on leur rende justice. Mais des cas comme celui-là ont des relents d’injustice. Très franchement, c’est la saison de la chasse aux prêtres ouverte depuis des décennies combinée aux ritournelles sur la “mémoire réprimée” et les choses de ce genre. Il n’y a pas à s’étonner d’entendre le bruit de pièces sonnantes et trébuchantes à des kilomètres à la ronde.
Ceux qui portent plainte aux USA sont souvent victimes d’un viol induit par un psychiatre qui arrivent à les persuader qu’ils ont subi unviol oublié qui est cause de leurs troubles, ce qui est une source de profits(50%) pour les avocats