Randall Terry, le fondateur de Operation Rescue, est avec Norma McCorvey, une des plus célèbres figures du combat pro-vie parmi les laïcs catholiques
américains. Il vient de frapper un grand coup dans ces derniers jours de la campagne présidentielle, en rendant public sur son site d’un court message (12 secondes) qu’il a obtenu d’un évêque américain, et destiné à être diffusé sur les radios. Voici le texte de cet
enregistrement :
« C’est l’évêque René H. Gracida qui vous parle et qui rappelle à tous les catholiques qu’ils doivent
voter lors de cette élection avec une conscience éclairée. On ne pourra pas dire d’un catholique qu’il aura voté lors de cette élection avec une conscience droite si ils ont [sic] donné leur voix
à un candidat pro-avortement. Barack Hussein Obama est un candidat pro-avortement ».
Certes, l’évêque Gracida est depuis 1977 émérite du diocèse de Corpus Christi (Texas). Il est âgé 85 ans.
Mais ce n’est pas la première fois qu’il “rue dans les brancards” y compris dans ceux de la Conférence des évêques…
J’ignore quel sera l’impact de cette déclaration sur l’électorat ctholique. Elle pourrait en tout cas en avoir sur
les relations entre l’Église catholique et l’État puisque les avantages fiscaux que ce dernier lui concède sont liés à sa non intervention “partisane” dans les débats électoraux. Quelques évêques
qui sont intervenus dans le débat de la présidentielle pour dire la même chose que Mgr Gracida mais sans citer nommément Obama sont aujourd’hui dans le colimateur des association de
la “bienpensance” comme celle des Americans United for Separation of Church and State (Américains unis pour la séparation des Églises et de l’État) qui, dans une lettre du 22 octobre
adressée à l’Internal Revenue Service (direction fédérale des impôts), dénonce Mgr Serratelli, évêque de Paterson (New Jersey) pour avoir osé comparé – sans le nommer – «
l’actuel candidat démocratique [sic au lieu de démocrate] » au roi Hérode qui ordonna le massacre des Innocents…
américains. Il vient de frapper un grand coup dans ces derniers jours de la campagne présidentielle, en rendant public sur son site d’un court message (12 secondes) qu’il a obtenu d’un évêque américain, et destiné à être diffusé sur les radios. Voici le texte de cet
enregistrement :
« C’est l’évêque René H. Gracida qui vous parle et qui rappelle à tous les catholiques qu’ils doivent
voter lors de cette élection avec une conscience éclairée. On ne pourra pas dire d’un catholique qu’il aura voté lors de cette élection avec une conscience droite si ils ont [sic] donné leur voix
à un candidat pro-avortement. Barack Hussein Obama est un candidat pro-avortement ».
Certes, l’évêque Gracida est depuis 1977 émérite du diocèse de Corpus Christi (Texas). Il est âgé 85 ans.
Mais ce n’est pas la première fois qu’il “rue dans les brancards” y compris dans ceux de la Conférence des évêques…
J’ignore quel sera l’impact de cette déclaration sur l’électorat ctholique. Elle pourrait en tout cas en avoir sur
les relations entre l’Église catholique et l’État puisque les avantages fiscaux que ce dernier lui concède sont liés à sa non intervention “partisane” dans les débats électoraux. Quelques évêques
qui sont intervenus dans le débat de la présidentielle pour dire la même chose que Mgr Gracida mais sans citer nommément Obama sont aujourd’hui dans le colimateur des association de
la “bienpensance” comme celle des Americans United for Separation of Church and State (Américains unis pour la séparation des Églises et de l’État) qui, dans une lettre du 22 octobre
adressée à l’Internal Revenue Service (direction fédérale des impôts), dénonce Mgr Serratelli, évêque de Paterson (New Jersey) pour avoir osé comparé – sans le nommer – «
l’actuel candidat démocratique [sic au lieu de démocrate] » au roi Hérode qui ordonna le massacre des Innocents…