Dans son dernier livre qui vient de paraître chez Ignatius Press, Render unto Cæsar – et qui
tombe à pic dans l’actuel débat sur le refus de donner la Communion s
acramentelle aux
politiciens catholiques qui sont en état de péché mortel en raison notamment de leurs positions pro-avortement (Joe Biden, Nancy Pelosi, Rudy Giuliani, et ejusdem
farinæ), l’archevêque de Denver (Colorado) rappelle en deux courts paragraphes le droit de tout prêtre – et donc de tout ministre de la Communion, fut-il “extraordinaire”) de refuser le
sacrilège et le scandale public. Voici ce court extrait :
« À présent, pour ce qui est de la réception de la Sainte Communion, il y a [d’abord] Notre Seigneur qui est Lui-Même concerné. Il y a [ensuite] la personne qui reçoit la Sainte
Communion. Puis il y a le ministre du Sacrement, celui qui a la responsabilité de s’assurer que le Sacrement n’est distribué qu’à ceux qui y sont convenablement disposés.
Ce droit qu’a le ministre de refuser de donner la Sainte Communion à quelqu’un qui persiste dans un péché grave et public, est garanti par le Code de droit canonique, au canon 915. Sinon, le
ministre de la Communion se trouverait dans une situation où sa conscience serait violée dans une affaire des plus graves, si, voyant un pécheur notoire venir recevoir la Sainte Communion au
scandale de tous les présents, on lui disait, d’une manière ou d’une autre, qu’il n’a pas le droit de refuser de donner la Sainte Communion dans une telle circonstance. Cela ne serait rien
d’autre qu’une erreur ».
tombe à pic dans l’actuel débat sur le refus de donner la Communion s
acramentelle aux
politiciens catholiques qui sont en état de péché mortel en raison notamment de leurs positions pro-avortement (Joe Biden, Nancy Pelosi, Rudy Giuliani, et ejusdem
farinæ), l’archevêque de Denver (Colorado) rappelle en deux courts paragraphes le droit de tout prêtre – et donc de tout ministre de la Communion, fut-il “extraordinaire”) de refuser le
sacrilège et le scandale public. Voici ce court extrait :
« À présent, pour ce qui est de la réception de la Sainte Communion, il y a [d’abord] Notre Seigneur qui est Lui-Même concerné. Il y a [ensuite] la personne qui reçoit la Sainte
Communion. Puis il y a le ministre du Sacrement, celui qui a la responsabilité de s’assurer que le Sacrement n’est distribué qu’à ceux qui y sont convenablement disposés.
Ce droit qu’a le ministre de refuser de donner la Sainte Communion à quelqu’un qui persiste dans un péché grave et public, est garanti par le Code de droit canonique, au canon 915. Sinon, le
ministre de la Communion se trouverait dans une situation où sa conscience serait violée dans une affaire des plus graves, si, voyant un pécheur notoire venir recevoir la Sainte Communion au
scandale de tous les présents, on lui disait, d’une manière ou d’une autre, qu’il n’a pas le droit de refuser de donner la Sainte Communion dans une telle circonstance. Cela ne serait rien
d’autre qu’une erreur ».