Je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager un texte issu du blogue Ignite, qui s’est permis de réécrire un texte de l’épitre de Saint Paul aux Galates, pour la rendre plus conforme à la pastorale de nos diocèses :
Mes frères, je vous déclare que l’Evangile, prêché par moi, n’est pas de l’homme. Car ce n’est pas d’un homme que je l’ai reçu ni appris, mais par une révélation de Jésus-Christ.
Vous avez, en effet, entendu parler de ma conduite, quand j’étais dans le judaïsme ; comment je persécutais à outrance et ravageais l’Eglise de Dieu, et comment je surpassais dans le judaïsme beaucoup de ceux de mon âge et de ma nation, étant à l’excès partisan jaloux des traditions de mes pères.
Mais, lorsqu’il plut à celui qui m’avait mis à part dès le sein de ma mère, et qui m’a appelé par sa grâce, de révéler en moi son Fils, afin que je l’annonce parmi les Gentils, sur-le-champ,sans consulter ni la chair ni le sang, sans monter à Jérusalem vers ceux qui étaient apôtres avant moi, je partis pour l’Arabie ; puis je revins encore à Damas.je consultai mon conseiller d’orientation spirituel du diocèse, qui me suggéra de réfléchir une année sur mes actions pour le parcours Diaconia 2050, en continuant mon job de salarié dans une entreprise de logiciels bibliques et en faisant le caté aux enfants du CE1 d’à côté.
Trois ans plus tard, je montai à Jérusalem pour faire la connaissance de Céphas, et je demeurai quinze jours auprès de lui.Trois années durant, je me nourrissais des paroles des professeurs de séminaire et de psychologie cognitive, qui m’ont appris à relativiser pas mal.
Mais je ne vis aucun des autres Apôtres, si ce n’est Jacques, le frère du Seigneur.Je me fondis sans enthousiasme dans l’équipe d’animation pastorale pour qui je tiens désormais le rôle de secrétaire général et de webmasteure, ce qui me prends beaucoup de temps.
En tout ce que je vous écris là, je l’atteste devant Dieu, je ne mens pas.Avec tout cela, je reste à l’écoute de ma mission telle que mes frères me la feront comprendre, Dieu parlera par eux.Ga 1,11-20.