On parle de plus en plus aux États-Unis du sénateur Joseph [Joe] R. [pour Robi
nette…] Biden Jr., comme “ticket” – c’est-à-dire vice Président potentiel – du futur candidat démocrate Barack
Obama. D’abord, parce que ce sénateur démocrate du Delaware depuis 1972 – il en est à son sixième mandat : un record – ne cache plus qu’il le souhaite désormais, après l’avoir nié auparavant.
En outre, à 66 ans et avec plus de trente années de carrière politique à très haut niveau, il serait l’exact pendant d’un candidat très jeune (trop même pour beaucoup d’Américains) et à
l’expérience politique réduite. Autre avantage de Biden, sa bonne connaissance des dossiers de politique étrangère – dossiers où Obama est à peu près nul – puisqu’il est, depuis des
années, membre, puis président, de la commission des affaires étrangères du Sénat américain. Mais ce qui le “qualifie” davantage encore
pour la charge, c’est qu’il est “catholique”. Curieux “catholique” en vérité. Voyez une de ses déclarations d’août 2005 : « Je suis très fier d’être catholique. Cela fait partie intégrante de
ma spiritualité et de mon identité. Quand John Kennedy se lança dans la campagne présidentielle, je me souviens combien j’étais fier qu’il soit catholique. Mais il devait faire la démonstration
que ses croyances ne le gouvernaient pas. Je suis sur la position de John Kennedy sur le rôle que la religion doit jouer en
politique ». En fait, aucune ! Biden, comme le fut Kennedy, est “catholique” le dimanche (c’est un pratiquant régulier), mais oublie de l’être du lundi au samedi… Sur toutes les «
questions non négociables », il est à l’opposé de l’enseignement de l’Église : pour l’arrêt Roe contre Wade – qui a fait de l’avortement un “droit constitutionnel” –, pour la recherche sur
les cellules souches embryonnaires, pour le “mariage” gay, etc. Il aurait tort de se gêner, puisque son évêque, Mgr Michael Saltarelli, ordinaire de Wilmington (Delaware), s’est toujours
refusé à interdire la Communion sacramentelle à Biden…
nette…] Biden Jr., comme “ticket” – c’est-à-dire vice Président potentiel – du futur candidat démocrate Barack
Obama. D’abord, parce que ce sénateur démocrate du Delaware depuis 1972 – il en est à son sixième mandat : un record – ne cache plus qu’il le souhaite désormais, après l’avoir nié auparavant.
En outre, à 66 ans et avec plus de trente années de carrière politique à très haut niveau, il serait l’exact pendant d’un candidat très jeune (trop même pour beaucoup d’Américains) et à
l’expérience politique réduite. Autre avantage de Biden, sa bonne connaissance des dossiers de politique étrangère – dossiers où Obama est à peu près nul – puisqu’il est, depuis des
années, membre, puis président, de la commission des affaires étrangères du Sénat américain. Mais ce qui le “qualifie” davantage encore
pour la charge, c’est qu’il est “catholique”. Curieux “catholique” en vérité. Voyez une de ses déclarations d’août 2005 : « Je suis très fier d’être catholique. Cela fait partie intégrante de
ma spiritualité et de mon identité. Quand John Kennedy se lança dans la campagne présidentielle, je me souviens combien j’étais fier qu’il soit catholique. Mais il devait faire la démonstration
que ses croyances ne le gouvernaient pas. Je suis sur la position de John Kennedy sur le rôle que la religion doit jouer en
politique ». En fait, aucune ! Biden, comme le fut Kennedy, est “catholique” le dimanche (c’est un pratiquant régulier), mais oublie de l’être du lundi au samedi… Sur toutes les «
questions non négociables », il est à l’opposé de l’enseignement de l’Église : pour l’arrêt Roe contre Wade – qui a fait de l’avortement un “droit constitutionnel” –, pour la recherche sur
les cellules souches embryonnaires, pour le “mariage” gay, etc. Il aurait tort de se gêner, puisque son évêque, Mgr Michael Saltarelli, ordinaire de Wilmington (Delaware), s’est toujours
refusé à interdire la Communion sacramentelle à Biden…
A ses débuts, la religion catholique s’appelait “La Voie”. (de nos jours le Tao Te King est appelé “The Way”) La religion Catholique est une Voie qu’il est difficile de suivre quand on veut plaire au monde. Et pourtant elle existe. Etroite certes, mais réelle cette Voie….
De Barak Hussein Obama, n’attendons rien, ainsi nous ne serons pas déçus. Obama ne peut même pas en rêve se voir président s’il ne sacrifie pas à certains lobbies anti, ou mieux faussement cathos…entre autres. Cet homme ne me dit rien qui vaille.