C’est la Catholic League qui nous le révèle aujourd’hui même. Harry Knox, directeur du programme Religion et Foi de Human Rights Campaign, une association de défense des
droits des homosexuels, vient d’être nommé par Obama à l’Advisory Council on Faith-Based and Neighborhood Partnerships (un conseil consultatif des associations religieuses près la
Maison Blanche).
Bill Donohue, président de la Catholic League, fait le commentaire qui suit :
« Sur la page d’accueil du site de Human Rights Campaign, il est dit que Knox “se vit refuser l’ordination parce qu’il est gay”. C’est une fausseté patente. On lui refusa
l’ordination dans la United Methodist Church et dans la United Church of Christ parce qu’il était un homosexuel pratiquant.
Indépendamment de cela, c’est son mépris affiché pour le catholicisme qui en fait un mauvais choix pour le Faith-Based and Neighborhood Partnerships.
Lorsque le pape Benoît XVI a récemment déclaré que les préservatifs n’étaient pas la réponse au VIH/SIDA, il n’exprimait que du bon sens : la distribution permissive de préservatifs
a précipité l’augmentation du VIH/SIDA. Mais pour les militants gay, comme Knox, le pape est un menteur. En vérité, il a exigé du pape “qu’il commence à dire la vérité sur l’utilisation du
préservatif ”, et il tient le Saint Père pour responsable de “mettre en danger la vie des gens”. Il n’a jamais expliqué pourquoi les appels à l’abstinence pourraient mettre en danger la vie d’une
quelconque personne. Knox est même allé jusqu’au point de dire que parce que les Knights of Columbus – comme la plupart des Américains – étaient opposés au mariage gay, ils
n’étaient que “des fantassins d’une armée d’oppression discréditée”.
Bien que Knox ne soit pas catholique, il ne put se retenir d’exploser contre l’Église catholique quand elle décida, il y a quelques années, d’empêcher les homosexuels « défendant la
culture gay » d’être candidats au sacerdoce. Il stigmatisa cette position de bon sens de “tentative de contrôle des esprits” et de position “dangereuse et immorale”. En d’autres mots, il
veut que l’Église catholique accepte des candidats comme lui, des homosexuels pratiquants si extrémistes que même les séminaires libéraux protestants refusent.
Que les catholiques remarquent bien ceci : l’administration Obama ne nommera jamais une personne anti-gay à un quelconque poste. Mais cela ne lui pose aucun problème de nommer des
anti-catholiques ».
Voilà sans doute encore une bonne raison pour le P. Jenkins d’inviter Obama à Notre Dame en mai…
Decrire une personne comme “un homosexuel pratiquant” n’aide pas a mon avis. Il semble injuste interdiction – de ne pas pratiquer ce que “vous etes”.
En realite, il n’y a pas des “homosexuals” – seulement des mauvais actes. Muavais pour tout le monde. Par exemple, si l’on condamne les jurons, on fait seulement ca. On ne dit pas tout d’abord desole aux personnes qui souffrent du syndrome de tourette.