Présid
ent de la commission des activités pro vie de la Conférence des
évêques (United States Confrence of Catholic Bishops), le cardinal Justin Rigali (photo), archevêque de Philadelphie, a dénoncé le 9 mars l’abolition par le président Barack Hussein Obama de l’interdiction
faite par la précédente administration de financer sur fonds fédéraux les manipulations sur les
cellules souches embryonnaires.
« Le nouveau décret présidentiel [d’Obama] concernant la recherche sur les cellules souches embryonnaires est une triste victoire des politiciens sur la science et l’éthique. Cet acte
est moralement mauvais parce qu’il encourage la destruction de vies humaines innocentes et qu’il traite des êtres humains vulnérables comme des produits tout juste bons à être récoltés. De plus,
il ne tient aucun compte des valeurs de millions de contribuables américains qui sont opposés à une recherche qui exige de sacrifier une vie humaine. En fin, il ignore le fait que sont déjà
disponibles des moyens solides pour faire progresser la science sur les cellules souches et les traitements médicaux, lesquels ont besoin d’un soutien accru ».
Voilà un prélat américain qui a le courage de témoigner au nom du Verbe incarné Jésus; c’est sans faillir car tel est son devoir de Pasteur qu’il prend la défense des plus fragiles en s’appuyant sur l’évangile de la Vie. Il condamne la culture égoïstique et mortifère qu’ose avaliser le président des E.U. Espérons que cette prise de position forte connaîtra une large diffusion, y compris dans Le New York Times, bulletin semi- officiel de Barak Hussein Obama. BRAVO Éminence!
Charles-Éd